Version #1 | You Thought it was just a myth, but you were wrong

NUMERO DE DOSSIER : #01 2555 4456
AFFAIRE : Dorian PANDZISKI

Voici les notes de l’inspecteur Dorian Pandzisky. Issues du rapport du jeune inspecteur, elles ont été retrouvées dans de drôles de circonstances. Le dossier, apparemment égaré contiendrait les clés du mystère Anésidora...
NB : Les rapports de Pandzisky sont souvent incomplets, la logique nous laisse penser que ces derniers ont été rédigé dans la hâte et que cela aurait éventuellement un quelconque lien avec sa disparition…

Citation :

Je n’en revenais pas…voilà six mois que je travaillais jour et nuit sur l’affaire Anésidora - la disparition d’un groupes de mômes friqués au cours d’un voyage scolaire - que l’affaire était dite : « classée ». Le papier qui annonçait la nouvelle trônait sur mon bureau, juste à coté de ma plaque d’inspecteur, que j’avais faillit perdre à plusieurs reprises à cause de deux trois parents hauts-placés, frustrés que je n’apporte pas au plus vite des réponses à leurs exigences. Incrédule, je n’en finissais pas de lire et relire les gros titres : « Les disparus d’Anesidora retrouvés ». Attrapant mes lunettes, j’en fit tomber mon café…peu importe, il fallait que j’éclaircisse ma lanterne, que je lise de mes propres yeux la piste que j’avais apparemment oublié de suivre :

« …la nouvelle est tombée ce matin…le voyage scolaire qui avait tourné à la catastrophe…nous pleurons la disparition de…leur bouleversante histoire sera sans aucun doute bientôt divulguée, pour le moment les jeunes étudiants sont profondément choqués et ne désirent pas se confier à la presse…Nous comptons sur les autorités afin d’en savoir plus sur ce drame qui a défrayé pendant de longues semaines la chronique…»

A peine avais-je terminé de lire l’ultime colonne que mon supérieur laissait tomber sur mon bureau un dossier, portant justement le même titre que le journal. Levant les yeux, il se poussa, me montrant d’un signe de tête le couloir…
Je n’avais pas été capable de les retrouver et pourtant on me confiait la lourde tâche de comprendre leur histoire. J’étais apparemment celui qui, pour avoir passé plus de six long mois à étudier chacun de leur dossier, était le plus qualifié pour classer définitivement l’affaire…enfin, on me sous-entendait surtout que c’était là, ma seule et unique chance de rectifier le coche.

Interrogeant chaque étudiant séparément, la nuit allait être longue…les nuits allaient être longues. Toute une série d’interrogatoires m’attendaient…mais ce n’était rien comparé à ce qui m’attendait moi…prendre connaissances de faits vraim-