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 Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)]

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Donny H. McKing
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Donny H. McKing


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Age : 35
LOVE ? : Les lapiines (L) & Mr Playboy xD
FEELING ? : Excited ^^
SOMETHING TO SAY ? : Tonight, I'm the drug you can't Deny...
ESPERANCE.DE.VIE :
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VOTRE.OBJET.DE.SURVIE : Un téléphone portable satellitaire.
DEGRE.DE.DEBROUILLARDISE :
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  • &&. Susie L. WEBER | "La vengeance est un plat qui se mange froid, il sera congelé pour toi chérie !" ^^

  • &&. Andrew R. BILLINGSLEY | "Enlève tes sales pattes de lapin des champs de mon beau téléphone satellitaire !"

  • &&. Dany O. BECKETT | "Quand je serais plus grand, je serais un lapin xD"
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MessageSujet: Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)]   Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)] Icon_minipostedJeu 3 Juil - 23:01

Donny n’était pas du même acabit que ses petits camarades, non , lui ne comptait pas les jours passés sur l’île, non, lui n’attendait pas désespérément la venue des secours, -même si le fait de le voir totalement passif face à la situation l’avait bien malgré lui placer dans ce pseudo groupe-, Donny se voulait indépendant. Lui, contrairement aux autres, avait fait le choix de se retrouver dans cette galère. Le choix ? Oui, je m’explique : Don’, possédait un avantage, un petit quelque chose faisant toute la différence, Don’ possédait un merveilleux petit bijou technologique, un fabuleux téléphone portable dernier cri satellitaire, et bien évidemment, avait gardé la dite chose secrète. Etant alors le seul a avoir les capacités de sauver ses chers petits camarades de la merde dans laquelle ils étaient, Don’ avait alors eu une idée plus que spéciale. A vrai dire, sur le coup, le premier jour, juste après que la nouvelle est été annoncée, il avait hésité, un court instant, mais il avait quand même hésité. Le téléphone en main, il était resté là, au milieu des autres, levant le visage pour ouvrir petit à petit sa bouche et manqué de peu de prononcer les mots attendu de tous. Mais il n’avait rien fait, il avait étrangement préféré resserrer sa main autour de l’appareil, regardant un à un les autres étudiants, regardant un à un, ces gens qu’ils méprisaient. Sauver des ingrats, sauver des gens qui ne lui sauront jamais reconnaissant ? Non, il préférait se taire, tout en ayant conscience du fait qu’il était peut-être en train de creuser par la même occasion sa propre tombe. Il s’en moquait, le jeu en valait bien la chandelle. Oui, ces pauvres petites choses si peu innocentes méritaient la galère actuelle et lui, il allait se régaler de la chose, telle un vulgaire spectateur d’une pseudo tragédie. Voila comment Donny s’était retrouvé responsable du calvaire de ses petits camarades. Ca aurait éventuellement pu être quelque chose d’assez lourd a porter sur la conscience, mais il préférait ne pas trop penser à ça pour le moment, pour le moment, la seule chose qui l’importait vraiment, était de voir comment chacun allait se débrouiller, qui oserait péter un câble le premier, qui allait dévoiler ses pires défauts aux yeux de tous. Oui, ce voyage, cet évènement était en fait une aubaine, chacun allait enfin dévoiler sa vrai personnalité, et Donny attendait ça avec beaucoup d’excitation.
Fou ? Non, le jeune homme était loin d’être un psychopathe, du moins, il ne l’était pas plus que ses petits camarades. Comme tout le monde le jeune McKing possédait son linge sale, ses petits travers et autres boulettes que maman et papa avaient soigneusement préféré cacher au reste de la population. Comme tout le monde, il restait un homme, sans trop d’ambitions, un peu perdu au milieu d’une jungle humaine qu’il avait bien souvent du mal à comprendre. Elle aussi il avait du mal à la comprendre. Elle ? Oui, Susie Loan Weber, son ex petite-amie. la jeune femme ramassait depuis une bonne dizaine de minutes des petits morceaux de bois, et Donny lui, caché par la frousse la regardait faire, inlassablement. Il avait hésité, un court instant à faire demi-tour, mais son impulsivité l’avait empêché. Et puis, se connaissant, il savait que retarder l’échéance de la rencontre était signe de mauvais présage. Il arrivait encore à se contrôler pour le moment, mais attendre allait davantage attiser la haine et l’incompréhension qu’il pouvait ressentir et l’issue ne pourrait qu’en être fatal. Alors à la place d’attendre et de peut-être regretter ses gestes et ses paroles, le jeune homme avait doucement quitté la brousse pour rejoindre la jeune femme, sur la pointe des pieds, dans un silence d’or. Enfin derrière elle, il avait simplement laissé glisser sa main sur le ventre de la petite brune, l’agrippant brusquement pour coller son dos contre lui et poser sa seconde main sur ses lèvres pulpeuses. Il n’avait pas envie qu’elle se mette à crier, qu’elle fuit, qu’elle alerte les autres. Non, lui seul déciderait du déroulement de la confrontation, et pour le moment, il fallait avouer le fait qu’il préférait de loin avoir le dessus. Il la sentit trembler de panique, et resserrant son étreinte, il glissa doucement sa joue contre la sienne, approchant ses lèvres de sa délicieuse oreille pour chuchoter :


« Du calme Susie-Chérie…Ce n’est que moi, tu sais le garçon que tu ne voulais pas faire souffrir… » Il se tue un instant, un sourire cruellement sadique se dessinant peu à peu sur sa bouche. Elle n’avait pas voulu le faire souffrir, elle avait agit paradoxalement. « Du calme Susie-Chérie…Je ne te ferrais pas souffrir…une chance qu’on ait pas la même définition de la souffrance, pas vrai poupée ? »

Il retira doucement sa main de la bouche de la brunette, caressant doucement ses pulpeuses lèvres au passage. Elle lui manquait, mais bien évidemment il garderait cette information pour lui. De toute façon la colère et l’incompréhension était beaucoup plus véhémente que l’envie de frôler ses lèvres contre les siennes.
« Tu m’as l’air d’être drôlement en forme…C’est drôle, parce que vu la tonalité de ta dernière lettre, j’étais genre persuadé que t’allais devoir te nourrir à vie à l’aide d’un tube ou bien de seringues, enfin un truc du genre, tu sais ce qui arrive vraiment aux gens qui sont gravement atteints… »

La main toujours posée sur le ventre de la jeune femme, il resserra son corps contre le sien, soupirant doucement, il sentait moins ses cotes qu’avant, oui avant lorsqu’ils étaient encore un « nous ». Son traitement, son hospitalisation lui avait fait prendre quelques kilos, ça lui allait bien, mais c’était encore une chose qu’il garderait pour lui, l’heure n’était de toute façon pas du tout aux compliments, il avait davantage envie de la toucher, de la toucher suffisamment profondément afin qu’elle comprenne le mal qu’elle lui avait fait avec cette putain de lettre à la noix, cette lettre remplie de mensonges.

« Finalement te retrouver coincer sur une île où la nourriture arrivera forcément un jour à manquer est une aubaine pour ta maladie. Je parie que t’y songe tout les jours, ouai à ce fameux jour où la nourriture manquera, à ce fameux jour où ils te montreront tous du doigt parce que ton problème avec la bouffe t’accusera, parce que ton problème avec la bouffe te donnera la rôle du bouc émissaire…T’y a songé ? »
Donny caressa doucement le visage de la brunette avec le revers de sa main, sentant le cœur de la jeune femme battre un peu plus rapidement :

« Moi j’y ai songé…alors tu sais quoi Susie-Chérie ? Je vais précieusement garder une barre chocolatée sur moi…et le jour où ton organisme te réclamera cette importante quantité de bouffe et que les fruits et autres cochonneries qu’on trouve ici ne suffiront pas à apaiser ton mal, tu pourras venir la chercher…Tu vois, je suis curieux de voir ce que t’es capable de faire pour de la bouffe…Je suis persuadé qu’on trouvera bien un terrain d’entente ce jour là…et t’en fais pas poupée, il arrivera plus vite que tu ne le pense. »
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MessageSujet: Re: Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)]   Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)] Icon_minipostedVen 4 Juil - 4:29

« Demande à l'autre anorexique là... Toute façon je suis sûre qu'elle a rien de mieux à faire... »

« Pfff... Je connais même pas son nom! Pi elle risquerait de se casser en deux en essayant de ramasser une branche! Hahahaha »

Susie ne disait rien elle était assise dans son coin et attendait... Ce qu'elle attendait à vrai dire elle même ne le savait pas, oui elle voulait quitter cette île s'éloigner de ces gens qui la jugeaient sans rien savoir d'elle, oublier le mal pouvoir faire ce qu'elle voulait où elle le voulait sans qu'on la juge, mais au fond ici ou ailleurs elle le savait elle ne serrait jamais tranquille, elle était différente sans doute beaucoup trop appars pour que quiconque s'intéresse à elle, mais elle passait oûtre s'enfermant dans un monde qui n'appartenait qu'à elle. Cela faisait plusieurs minutes qu'elle les écoutait se bagarrer pour savoir qui irait chercher du bois, trouvant chaqu'un leur tour une bonne raison pour que tel ou tel y ai à sa place, s'inventant des excuses bidons: "J'ai mal à la cheville" "Je dois surveiller la cuisson" "Arthur n'a rien fait aujourd'hui" "C'est Mike le plus petit il a qu'à bouger ses fesses"... Et elle les écoutait sans rien dire les laissant se crier dessus, se moquant bien d'eux mais gardant ses remarques pour elle, toute en sachant très bien qu'elle était la dernière personne ici à avoir interet à ramener sa fraise! Mais pourquoi s'en prenait-il à elle maintenant, elle n'avait rien demandé... Elle n'avait rien dit... Elle voulait juste la paix... Et pourtant après cette réflexion elle se leva comme une femme soumise, mais à la place de partir elle se dirigea vers les trois hommes, les toisant du regard, un regard noir et plein de haine, ce regard qu'elle savait si bien faire aujourd'hui pour l'avoir utilisé à mainte reprise ses derniers temps...

« Susie je m'appelle Susie... Et vous savez quoi? Je vais aller vous le chercher votre bois... Et la prochaine fois à la place de vous en prendre aux gens qui ne vous on rien demandé... Regardez vous en face... Vous ne valez pas mieux qu'une anorexique ou qu'un garçon de 15ans! »

Biensûre ce qu'elle venait de dire elle ne le pensait pas une seconde, ils valaient bien mieux qu'elle, elle le savait, mais il lui fallait sauver les apparences, faire croire au monde qu'elle s'en sortait qu'elle avait repris confiance en elle, faire croire encore une fois qu'au fond cette thérapie lui avait servi à quelque chose... Apars évidement à prendre du poids qu'elle s'empresserait sans doute de reperdre, car ça on pouvait le voire au premier coup d'oeil... Sauver les apparences, c'était l'histoire de sa vie... " Non Susie ne met pas cette robe elle te va si mal, elle te grossit trop et regarde tes hanches... Un régime s'impose..." "Ca te va si mal, tu es si mince, non si grosse... Alors hop en thérapie..." Enfin en thérapie officieusement, officielement chez la tante Jeanette, d'ailleurs c'est fou le nombre de fois ou Susie avait été voir cette fameuse tante imaginaire... Le nombre de fois ou elle n'avait rien dit car si la presse le savait... Si ils savaient que la fille ou plutôt la belle-fille, du grand patron de "Gramers and Co'" était dans un centre pour personnes à problèmes, imaginez le scandale... Alors il fallait se cacher renier ce que l'on était, c'était tellement plus simple... Soit belle et tais-toi... Mais Susie ne voulait pas faire d'histoire, elle n'aimait pas vraiment se faire remarquer, d'ailleurs la voilà déjà partant au loin allant chercher se foutu bois que personnes appars elle n'aurait pris la peine d'aller chercher dans la forêt... Cette fameuse forêt le seul endroit sombre de l'île sans doute l'endroit qu'elle déteste la plus, mais au moins ici elle était seule, personne ne viendrait la déranger...

Enfin c'est ce qu'elle croyait jusqu'à se qu'elle sente deux mains s'emparer de son corps pour le coller à un autre corps étranger... Enfin plus pour longtemps... Evidement son premier réflexe fut d'essayer de se défendre, mais que peut on faire contre des mains d'homme quand on pèse 40kg tout mouillé? Je vais vous le dire pas grands choses... Pourtant ça n'était pas faute d'avoir essayé... Evidement il lui était aussi venu à l'esprit d'appeler au secours mais le fameuse inconnu avait aussi envisagé cette possibilité, en glissant sa main sur ses lèvres pour qu'aucuns son ne puissent plus en sortir la faisant par la même occasion légerement suffoquer... Puis elle sentit se visage si proche du sien, se souffle dans son oreille comme une caresse, et tout à coup elle eut comme une sorte de désire... Souvenir d'un passé pas si lointain qui se révela très vite correct... A son premiers mot elle reconnu sa voix, comment l'oublier, pourtant elle était différente comme si quelque chose c'était brisé en lui, ses paroles n'avaient rien de celle qui étaient sortis de sa bouche au par avant, l'adorable Donny semblait bien loin aujourd'hui... Que lui était-il arrivé pourquoi cette soudaine violence à son égard cette main sur sa bouche... Elle l'écouta que pouvait-elle faire d'autre ses paroles étaient comme de flammes, elles la brûlaient mais elles ne pouvaient en trouver la raison, ses mots étaient durs et froids, il n'y avait plus cette chaleur dans sa voix ce petit truc en plus qui faisait de Donny se qu'il était... Tout ça avait dissparue et il lui avait fallu à peine 30 secondes pour le voir... Que voulait-il? Pourquoi venir vers elle, n'avait-elle pas été claire? N'avait-il pas compris... Il semblait que oui pourtant...

Après un mince discours il enleva enfin sa main la laissant à nouveau respirer, evidement elle ne cria pas... Non il ne pourrait pas lui faire de mal, il ne pouvait pas avoir changé à ce point, pourtant qu'entendait-il par cette dernière phrase: "une chance qu'on ait pas la même définition de la souffrance"... Elle n'avait pas pensé mal jamais... Elle avait au contraire voulu lui éviter le pire, qui voudrait d'une petite amie comme elle? Une fille à problèmes, pas capable d'aimer comme on l'aime, incapable de comprendre pourquoi on l'aime et surtout, incapable de se satisfaire elle-même et encore moins les autres... Non Susie n'était pas une fille bien pour lui, elle n'était en faite une fille bien pour personne, juste une source d'ennuies, pourquoi ne voulait-il pas le comprendre? Et le voilà qui reprennait déjà la parole lui laissant à peine le temps de comprendre ce qui lui arrivait alors que ses mains frôlaient du doigt ses lèvres et que l'idée de se défendre ne lui traversait même plus l'esprit, pourtant il la tenait toujours serré contre lui comme s'il avait peur qu'elle s'échappe... A nouveau...

« Et bien tu vois Donny.... Apparement j'étais atteint moins gravement que ce que les gens qui m'ont envoyé dans se centre pouvaient croire... Au faites pour moi aussi c'est toujours un plaisir de te revoir... »

Elle utilisa ce ton ironique qu'il devait sans doute si peu lui connaitre, ce genre de petit voix que l'on utilise qu'avec les gens que l'on connait ceux à qui l'on a plus rien à prouver et qui pourtant font ressortir le pire de nous... Oui il la cherchait, alors à quoi s'attendait-il? A ce qu'elle reste de marbre ou au contraire qu'elle lui saute au cou? Puis elle sentit ses mains la serrer plus fort tout en pressant son corps contre le sien, et tout un coup elle eut comme une envie de vomir, paradoxal à ce qu'elle avait ressentit quelques secondes plus tôt quand elle avait senti ses bras.... Elle ne reconnaissait aucuns de ses gestes ni même sa façon de parler... Qui était-il? Qu'avait-il fait du Donny qu'elle avait connu... Ca ne pouvait tout de même pas être de sa faute? Avait-elle pris une place plus importante dans sa vie que ce qu'elle avait pu croire, elle qui avait cru qu'il n'attendait plus qu'une occasion pour se débarasser d'elle, quand elle était parti au centre... Aurait-elle encore une fois été à côtée de la plaque? Puis elle reçut les mots suivants comme un coup de couteau... Pourquoi lui faisait-il ça... Pourquoi lui faisait-il du mal, il savait ou appuyer, il connaissait ses points sensibles, savait que depuis son arrivée elle se torturait l'esprit avec ça... Pourtant il lui fallait encore une fois sauver les apparences c'était le moment ou jamais de faire comme si tout était revenu dans l'ordre... Elle ravala donc ses larmes qui étaient sur le point de sortir affichant un sourire narquois qu'il ne pouvait malheureusement pas voir mais sans doute deviner au ton de sa voix...

« Non tu vois, je n'y ai pas pensé une seconde... Car je n'ai plus de problème c'est fini évaporé... Je... »

Mensonges, mensonges... Mais il la laissa à peine finir enchaînant avec une ribambelle de mots. Au fond Susie se doutait bien que pas une seconde il ne croirait à son baratin c'était bon pour les étrangers ceux qui ne la connaissaient pas ceux qui ne l'avaient jamais connu et ne voulaient pas la connaitre... Pas pour lui... Mais elle avait essayé... Elle l'écouta encore une fois parler se sentant de plus en plus faible... Puis ses émotions commencèrent à prendre le dessus, il fallait toujours qu'elles pointent leur nez, non elle n'allait pas pleurer pas maintenant, elle se l'interdisait même si les mots faisaient mal, même s'il la piquait à vif, si elle se sentait mise à nue et encore plus mal elle ne devait pas se laisser aller... Quand il eut finit de parler une larme coula pourtant sur la joue de la demoiselle, et alors qu'il s'y attendait le moins, d'un geste brusque elle se défit de son étreinte qui semblait la brûler comme un fer chaud et se retourna pour lui faire face... Essuyant au passage la larme sur sa joue... Et les voilà les yeux dans les yeux... Comme au bon vieux temps...

« Qu'est-ce que tu veux Donny? Va s'y dit le moi tout de suite comme ça je serrai fixée! Tu me connais je déteste les surprises! »
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MessageSujet: Re: Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)]   Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)] Icon_minipostedVen 4 Juil - 12:59

Elle pouvait bien parler, bien lui trouver toutes les excuses qu’elle voudrait, Donny avait l’impression que rien ne pourrait apaiser ce qu’il ressentait actuellement. Il avait déjà été déçu dans sa vie, il avait déjà su ce que c’était de perdre quelqu’un en perdant Andrew son meilleur ami, mais la perte de la jeune femme avait été plus dure parce que totalement imprévisible, elle était survenue sans prévenir. A l’époque, tout avait l’air de pourtant si bien se passer entre eux…Trop Bon, trop con Donny se pliait même à toutes les volontés de la brunette, fermant les yeux sur ses défauts, se disant qu’au fond, le bonheur venait sans doute de concessions. Il avait peut-être eu tord, il ne savait point mais en tout cas, il se refusait le regret. Non, regretter c’était faire preuve de lâcheté, et entre les deux jeunes gens, il fallait bien admettre que la jeune femme gagnait la palme. Une lettre, une stupide lettre, c’est tout ce qu’il avait reçu en guise de rupture. Une lettre qui se voulait de plus, cruellement froide et dénuée de sentiments, bourrée de choses et d’autres dont il était sûr qu’elle n’aurait jamais été capable de dévoiler en sa présence. Elle était plutôt courte à vrai dire, mais totalement dénuée d’espoir. Elle lui disait simplement de l’oublier, que de son coté c’était ce qu’elle avait fait, qu’elle s’était fait une raison, une raison à ce que sa maladie soit toujours bien plus forte qu’elle, plus forte que lui. Elle souhaitait le voir sortir de sa vie, elle souhaitait qu’il rencontre quelqu’un d’autre et qu’il la laisse tranquille, elle et ses démons, que de toute façon, son état était de pire en pire, que bientôt elle n’aurait même plus la force de se trainer , de trainer sa carcasse par ses propres moyens, par ses propres jambes. Donny se souvenait encore de la première réaction, après avoir lu ce tissu de conneries, comme il aimait l’appeler. Il l’avait simplement chiffonné entre ses mains, le regard légèrement perdu. Il s’était alors fait énormément de soucis pour elle et avait même tenté par tout les moyens de la voir, de lui rendre visite, de lui prouver que non, elle se trompait, que malgré tout il souhaitait rester à ses cotés jusqu’au bout, qu’il était près à faire tout les sacrifices pour qu’elle le laisse lui tenir la main, pour qu’elle lui laisse encore une chance de lui prouver qu’il pouvait être plus fort que cette satanée maladie. Evidemment les parents de la jeune Weber avaient du être informés de ce léger détail, étant donné que toutes ses tentatives se révélèrent totalement infructueuses, toutes ses tentatives furent vaines, personne ne voulait le laisser rentrer au sein de ce putain de centre, personne ne l’avait laissé approcher la belle. Et puis, un jour où il tentait une dernière fois de convaincre ses parents de sa bonne volonté à l’égard de Susie, sa mère s’était montrée encore plus cruelle et détestable que d’habitude, et l’avait violemment bousculé lui lâchant tel un venin de serpent que Susie allait bien, qu’il devait cesser de parler de maladies et compagnie, qu’il n’était qu’une vulgaire tâche qui salissait la réputation de leur enfant chérie et que si aujourd’hui il galérait à voir la brunette, c’était tout bonnement parce qu’elle ne voulait plus le voir, qu’elle ne l’aimait plus…d’ailleurs, l’avait-elle seulement un jour aimé ?
Donny doutait que Susie soit au courant de cet affrontement, mais il était parti, prenant tout ça comme un vulgaire poignard en plein cœur. Cette garce de Weber l’avait blessé, l’avait touché et il s’était dès lors juré qu’un jour prochain il ferait de même, qu’il la trainerait dans la boue, elle et sa catin de fille adorée ! Et pourtant, désormais qu’il se tenait proche de celle qu’il avait tant aimé et détesté à la fois, il se sentait faible. Evidemment il garderait ça pour lui, lui aussi était très fort pour sauver les apparences. Une nouvelle fois, il ferait comme sa mère lui avait dit, le jour de ses quatre ans, lorsqu’il avait été apeuré par cette bête qui s’avérait en fait n’être qu’un vulgaire lapin des champs, il nierait, il relèverait la tête et ferait en sorte d’être le plus terrifiant. Sauf qu’a l’époque, la technique de maman McKing avait été plus infructueuse qu’autre chose, forçant le gosse à consulter afin de faire disparaitre cette peur et cette obsession qu’il avait étrangement développé. Il était tout bêtement en train de faire de même avec la jeune femme, développé un drôle de sentiment qui allait le hanter, et qui le hantait déjà.
Voila qu’elle se servait de l’ironie, lui mentant encore et encore, mettant simplement la faute sur les autres, faisant l’autruche, disant que tout allait bien et qu’elle était bien sûr heureuse de le revoir. Ces simples mots firent monter la pression d’un cran, elle n’avait pas le dessus…Etait-il nécessaire de le lui rappeler ? Elle ajouta, mentant de plus en plus mal, qu’elle n’avait pas une seule seconde songé au problème de la nourriture, sous-entendant qu’elle n’avait plus de problèmes avec ça…Que croyait-elle au juste ? Qu’elle serait en mesure de faire croire pareille chose au jeune homme ? Oh que non, il la connaissait que trop bien pour savoir qu’elle était loin d’être guérie, qu’elle était loin d’aller bien, et cela malgré les nouveaux kilos qu’elle affichait. Elle se détacha alors de lui, lui faisant enfin face. Donny se perdit d’ailleurs l’espace d’un instant dans le regard émeraude de la jeune femme, presque nostalgique du bon vieux temps, où elle lui aurait sans doute sauté au cou pour le serrer entre ses frêles bras, pour lui dire qu’il lui avait manqué…Sauf que tout cela appartenait désormais au passé, et même si la tentation de caresser doucement sa peau était forte, Donny se montrerait juste froid et calculateur, jouant de ses mots et de son charme afin de la faire souffrir, afin de lui faire regretter. Il avait terriblement envie de la voir pleurer, et bien évidemment la vision de sa joue humide lui apporta une étrange satisfaction, suivie pourtant d’un petit pincement au cœur qu’il se dépêcha vite d’effacer. Non, elle ne pourrait en aucun cas l’émouvoir, le nouveau Donny n’était pas stupide pour se laisser avoir de la sorte, le nouveau Donny prenait désormais son pied à voir les autres souffrir et se rabaisser devant lui. Oui, ils se rabaisseraient tous devant lui, lorsqu’a bout de force, il leur ferait part de l’objet magique. Il les ferait tous mettre à genoux devant sa petite personne, soyez en sûr. Susie lui demanda alors véhémence ce qu’il attendait d’elle…Hum, bonne question.


« Alors comme ça tu voudrais savoir ce que j’attends de toi ? C’est drôle ça, parce qu’il y a encore quelques mois, ça faisait apparemment pas vraiment parti de tes priorités. Et tu crois quoi au juste poupée ? Que ça va être aussi simple que ça, que je vais te balancer ça comme ça, que ça regèlera tes tords et qu’ensuite je te foutrai la paix ? Et bien j’ai une mauvaise nouvelle chérie. Tant qu’on sera coincé sur cette si paradisiaque île, dis toi que tu ne sera à l’abris de rien, que même le plus violent des tsunamis sera de la gnognotte comparé à ce que je t’ai préparé… »
Le jeune McKing afficha alors un petit sourire narquois, elle détestait les surprises et ça il le savait parfaitement bien. Alors pensez-vous qu’il allait se la jouer le plus mystérieux possible quant à ces nouvelles intentions. Désormais il était seul maître du jeu, et même si elle avait durant un temps gagné le jeu, il était désormais plus question de revirement de situation, il ferait d’elle sa chose, et pour cela tout les moyens étaient bons, même sa connerie de maladie.

« Dis-moi Susie-chérie, dis-moi le doux nom de l’enfoiré qui t’as retourné le cerveau, de l’enfoiré qui ta éloigné de moi ? J’ai hâte de savoir qui sera mon digne remplaçant, qui sera celui qui se lèvera au milieu de la nuit pour tenir tes cheveux quand il te trouvera à genoux devant la cuvette des toilettes… »

Donny attrapa doucement une des longues mèches brunes de la jeune femme, la faisant glisser entre ses doigts tout en poursuivant :
« J’ai hâte de savoir qui sera celui qui se taira, lorsqu’il te trouvera en train de vider les placards, celui qui fermera les yeux lorsqu’il te verra enfoncer tes doigts au fond de ta bouche, celui qui se bouchera les oreilles pour ne point t’entendre vomir, encore et encore...qui essuiera ta bouche et te serrera très fort contre lui pour plus que t’es peur, qui restera à ton chevet quand les forces t’auront lâchées pour te nourrir à la petite cuillère et embrasser tendrement ton front… »

Il se pinça fortement la lèvre inférieure, empreint des souvenirs qu’il venait de citer, des choses qu’il avait du supporter pour être l’élu du cœur de la belle Susie Loan. Posant violamment ses mains sur les petites épaules de la jeune femme, il la secoua brutalement tout en lâchant, montant le ton d’un coup :
« Qui ? »
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MessageSujet: Re: Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)]   Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)] Icon_minipostedVen 4 Juil - 18:05

Susie avait peur, pas étonnant il lui en avait toujours fallu peu pour que ses sentiments s'emparent d'elle... Mais cette fois ils étaient forts et indescriptibles, et évidement innatendu, qui aurait cru qu'il réagirait d'un pareil façon, la violence n'avait jamais été à l'ordre dans leur couple pas une seule seconde, évidement il avait toujours été un petit ami parfait, dans ce rôle la c'était elle qui était mauvaise, mais il avait toujours semblé passer au-dessus de ses petits défauts, comme si tout ça n'avait aucune importance, et elle aurait sans aucuns doutes voulu penser comme lui... Mais ça n'était pas le cas... Non, Susie n'était pas une fille forte, elle faisait plutôt partit de celles qui se laissent avoir par leurs émotions qui suivent le groupe pour ne pas se faire remarquer, et qui n'ont pas le courage d'assumer leurs acts... Alors qui se cachent derrière des regrets... Ho des regrets Susie en avait et pas qu'un peu, il y avait beaucoup de choses dans sa vie dont elle n'était pas fière... Mais qu'aurait-elle du faire, car dire que Susie n'aimait pas Donny aurait été mentir, elle l'avait aimé à sa façon, sans aucun doute pas de la bonne façon, elle ne lui avait jamais donné l'amours qu'il méritait, faute à qui? Peut-être tout bonnement au monde dans lequel elle avait vécu, mais pouvait-elle vraiment rejeter la faute sur sa mère, cette femme qui c'était soumise à un homme riche, pour elle, pour que Susie puisse dormir toutes les nuits dans des draps chauds et qui plus est de soie... Non elle n'allait pas lui jeter la première pierre elle ne le méritait pas, même si tous les soirs elle allait se coucher dans le même lit qu'un homme qu'elle détestait.... L'argent dicte le monde... Elle l'avait compris en passant une année dans la rue sans argent sans toit, car sans argent on est rien, rien que des cafards à écrasser... Mais je m'éloignes du sujet...

Evidement Susie avait souhaité mieux comme rupture pour eux, mais qu'aurait-elle pu faire... Le téléphone leur était interdit, les visites autorisés mais seulement les familiale... Il ne lui restait donc plus que les lettres, ses vulgères tissu qui n'attendait plus que sa plume pour être noirci et c'était ce qu'elle avait fait, essayant un maximum d'être froide de ne pas penser à tout ce qu'il avait fait pour elle, de ne pas se dire qu'il méritait mieux que ça, non il fallait qu'elle se dise qu'il allait être soulagé de recevoir cette lettre, se sentir libéré d'un poids... Car non elle n'avait pas menti, son état ne s'améliorait pas au contraire, le déclique fut un peu plus tard, ce qui l'avait produit? Pas grands choses une visite d'un cousin un lavage de cerveau bien en ordre et c'était repartit... Sa famille avait le dont pour ça, lui faire comprendre qu'elle les mettait tous dans la "merde" avec ses conneries, que plus vite elle serrait sortit d'ici mieux le monde se porterait et comme un chien bien obéissant elle avait fat ce qu'on lui disait de faire mangeant ce qu'on lui disait de manger s'interdisant les toilettes, ne volant plus dans la réserve qui de toute façon avait encore une fois été mieux sécurisé... Et tout ça avait porté ses fruits, elle était là aujourd'hui... mais qu'avait-elle gagné? Quel victoire? Le droit de se faire insulter et traiter de tous les noms?

Donny avait raison, elle n'avait jamais su qu'il avait tout fait pour la revoir, qu'il c'était inquêté pour elle, elle avait pensé qu'il avait juste jeté la lettre et refait sa vie... Ce qui paraissait logique. Donny était un garçon bien il avait toute les caractéristiques du petit ami parfait en plus de ça il était mignon... Alors quelle fille n'aurait pas voulu de lui? Appars peut-être... celle qu'il voulait... mais qui aurait cru que sa mère ce petit bout de femme qui n'avait jamais osé monter un octave plus haut que l'autre en compagnie de son mari aurait pu faire ça... Certe elle n'avait jamais beaucoup aimé Donny, mais Susie s'en fichait bien, au fond elle n'aimait pas plus son beau père et elle c'était fait une raison... Mais jamais sa mère ne lui avait reparlé de Donny la laissant croire qu'il avait tout bonnement oublié... C'est sans doute pour cette raison qu'aujourd'hui elle ne comprenait pas sa réaction à son égard... Mais lui faire face était plus dure qu'elle ne l'aurait cru... Pourtant l'espace d'un instant dans ses yeux elle avait cru voir celui qu'elle connaissait, puis à nouveau son regard était devenu noir et plein de haine à son égard, comme si tout était calculé... Avait-il prévu chaques mots qu'il lui sortait? Tout était-il prémédité depuis le début pour lui faire mal, ou alors se laissait-il porter par sa colère et peut-être même son dégout à son égard...

« Mais de quels tords tu parles Donny? Que voulais-tu? Que je te laisse m'attendre éternellement alors que tu pouvais trouver tellement mieux ailleurs... Le bonheur était à la portée de ta main, t'aurais juste pus la tendre, je ne t'ai pas menti... Tu n'as pas besoin de moi, tu peux avoir milles fois mieux... Enfin le Donny que j'ai connu pouvait avoir mille fois mieux... Celui qui se trouve devant moi... Je ne sais pas qui il est... »


Puis elle releva les yeux pour affronter son regard, elle savait qu'il avait le dessus elle l'avait bien compris, elle savait qu'il pourrait la faire souffrir mieux que quiconque, qu'il la connaissait assez pour savoir à quel endroit appuyer pour que la douleur soit la plus vive! Les insultes des gens qui ne nous connaissent pas et qu'on ne connait pas son facile à encaisser... Elles sont d'ailleurs le plus souvent dénué de sens... Mais quand ses mots sortent de la bouche d'une personne que l'on a aimé ils font mal... Ils blessent... Et ça Donny l'avait compris et il savait d'ailleurs comment s'en servir, comme il avait déjà commencé à le faire! Mais il enchainait déjà continuant a l'attaquer sur sa maladie... Elle ferma les yeux, non elle ne devait pas se laisser avoir... C'était ce qu'il voulait, il voulait la voir faible et à sa merci, la voir pleurer peut-être même supplier à genoux qu'il se taise... Mais ça elle ne le ferrait jamais... Plutôt crever... Puis elle réouvrit les yeux, pour lui montrer qu'il n'y arriverait pas.. Qu'elle aussi avait changee qu'elle ne se laisserait pas atteindre, même si elle était blessée... L'énumération des choses qu'il avait fait pour elle, la plongèrent dans une profonde mélancolie, elle était loin, très loin dans ses bras là ou l'espace d'un instant elle pouvait croire que les choses allaient s'arranger, car oui grâce à lui elle y avait cru parfois... Mais tout n'avait toujours été que déception... Les bars de Donny avait dissparu... Il était à quelques centimètres d'elle mais pourtant si loin... Et le voilà déjà qui usait de sa force pour avoir le dessus la secouant brutalement tout en montant d'un cran... Que voulait-il qu'elle lui répond qu'elle aimait depuis toujours un homme qui n'avait jamais posé les yeux sur elle.... D'un homme qui se fichait bien d'elle et la voyait à peine comme une amie? Non elle ne pouvait pas lui dire ça car Steeve n'était pas celui qui prendrait la place de Don' jamais....

« Il n'y a personne Don', tu vois je ne ferais plus l'erreur de laisser quelqu'un penêtrer dans ma vie... Prendre une place qu'il n'a pas à prendre que personne n'a à prendre... Car tu le dis toi-même il n'y a pas de place pour un homme dans ma vie la maladie prend la place pour deux... Alors non je ne laisserais plus personne entrer dans ma vie... Et prendre le risque que comme toi... Il me connaisse assez pour me faire du mal... »
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Donny H. McKing
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MessageSujet: Re: Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)]   Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)] Icon_minipostedSam 5 Juil - 20:41

Susie avait beau jouer la guerrière, Don’ pouvait sentir la peur émaner de la jeune femme. Son souffle était beaucoup trop rapide, ça aurait pu vouloir dire que sa présence lui était, hum comment dire, particulièrement appréciable, mais il fallait tout de même avouer que les méthodes plutôt musclées du jeune McKing étaient plus propices à la peur et à la panique qu’à l’envie d’une étreinte charnelle et passionnée…même s’il n’aurait pas dit non. Oui, je vous rappelle tout de même que Donny, sous ses airs d’Anakin Skywalker en train de se laisser entrainer par le coté obscur de la force, restait un homme, un pur, un vrai, avec des envies, mais surtout des instincts primaires. Et s’occuper de la sorte de la jeune femme, pour ensuite la laisser salie, seule et désespérée contre le sol herbeux de la clairière aurait put être une idée tout à fait envisageable, même qu’elle se serait rappelé à quel point elle avait fait la connerie de sa vie, en envoyant cette foutue lettre, que jamais elle ne pourrait retrouver un amant aussi performant que le beau brun. Mais, hum, oui je m’agarre xD Donny avait d’autres plans pour la jeune femme, d’autres plans bien plus cruels. Bien sûr qu’il aurait pu jouer avec son pauvre petit cœur, la reconquérir, pour mieux la plaquer et la faire souffrir, mais le jeune homme n’avait pas vraiment de temps à perdre, il était persuadé que de toute manière leur temps était compté sur l’île, et que même s’ils demeuraient complètement oubliés par le continent, tout cela ne serait qu’une question de temps, de temps qui viendrait peut-être à lui manquer. Oui, il avait des idées bien plus noires au sujet de la belle brune. Il avait d’ailleurs pensé qu’a ça depuis qu’il avait été froidement rejeté par la maman de la belle Susie, il n’avait songé qu’au moment ou il pourrait enfin remettre les pendules à l’heure, qu’au moment ou tout puissant, il briserait la jeune femme en deux tout comme elle avait osé briser son pauvre petit cœur.
Et pourtant, et pourtant il l’avait aimé, il l’avait tout d’abord désiré avec passion lorsqu’elle était encore en couple avec Andrew, qui était encore son meilleur ami à l’époque. Toujours bienveillant et attentionné, il avait d’abord été le bon pote, celui qu’on appelle lorsqu’on a une petite déprime à quatre du matin, celui avec qui on ne craint pas de se prendre une cuite, juste pour oublier l’espace d’un instant à quel point parfois on peut être totalement pitoyable. Celui devant qui on se change, sans se poser de questions, considérant l’autre comme un vulgaire et désespérant « frère de cœur », se montant le bourrichon, se disant simplement, que quoi qu’il arrive, jamais rien ne pourrait arriver, que l’amitié était quelque chose de beaucoup trop primordiale et évidente pour se transformer en quoi que ce soit d’autre. Il avait été patient le pauvre Donny, il avait accepté le rôle, même si parfois il se relevait être trop dur pour lui, même s’il avait du trop de fois se retenir de l’embrasser, même si il y avait du trop de fois s’écarter brusquement d’elle, de peur de ne point pouvoir contrôler ses pulsions à son égards.
Et puis le fameux jour était enfin arrivé, elle venait tout simplement de s’être fait largué par le grand blond, qui avait du se lasser, qui avait du se lasser de jouer à l’infirmier. Don’ avait alors débarqué tel un chevalier sur son grand cheval blanc. Il l’avait trouvé totalement faible et fragile, la tête posée sur le rebord de la cuvette des toilettes, les cheveux collés au visage, le mascara dégoulinant le long de ses joues humides. Elle était loin d’être la perfection, elle était loin d’être jolie ce soir là, mais il l’avait soulevé dans ses bras, il l’avait simplement serré contre lui pour la conduire à la salle de bain et la débarbouiller de son mieux, il l’avait couché et l’avait entouré de ses bras. Il avait attendu qu’elle se calme, qu’elle s’endorme dans ses bras et avait veillé toute la nuit, lui tenant toujours la main, lui caressant inlassablement les cheveux. Ce n’est qu’au petit matin, qu’elle l’avait remercié en l’embrassant tendrement sur les lèvres. Elle avait surement du faire un transfert, vous savez, à défaut d’avoir le blondinet, elle s’était tout bonnement attaché au meilleur ami, à celui dont la destiné est d’être toujours dans l’ombre de l’autre. Sauf, qu’en coup de maitre, le beau brun avait su lui faire oublier Andrew, avait su la rendre heureuse, du moins, c’est bêtement ce qu’il avait cru.
Et désormais il était fatigué, fatigué de tout ce qu’il avait fait pour elle, fatigué de voir à quel point la jeune femme s’était montré si peu reconnaissante. Et en plus, la jeune femme osait lui dire qu’elle peinait à le reconnaître, que le Donny qu’elle avait connu aurait pu mieux avoir. Etait-elle stupide au point de ne pas avoir compris que tout ce qu’il avait voulu pendant tout ce temps, c’était elle et uniquement elle ? Bref, elle semblait ne pas vouloir se soumettre à ses dires, à sa volonté et faisait preuve de répondant, ce n’était pas le moment de perdre la face, le jeu était loin d’être fini, non, il venait même tout juste de commencer.


« Je t’écrierais bien une lettre pour t’expliquer tes tords…mais tu vois Susie-chérie, j’ai trop peur de ne pas être assez froid et distant pour ça. »

Il posa un doigt sur les lèvres de la jeune femme, la coupant, la faisant taire, oui il avait terriblement besoin qu’elle se taise, sa voix commençait vraiment à lui retourner le cerveau à lui taper le système, et il n’avait pas vraiment besoin d’une défaillance technique pour le moment, il fallait à tout prix qu’il reste calme…même s’il peinait à y arriver.

« Chut poupée…évite donc ce genre de discours à la noix avec moi…être le bon pote, le mec qu’on remballe toujours parce qu’on préfère son meilleur ami je sais ce que sais, alors les phrases préconçues du genre « tu mérites mieux » ou même « je ne voulais pas te faire souffrir » …
Laissant glisser son doigt le long des lèvres de la jeune femme, il attrapa brusquement d’une main son menton, le serrant entre ses doigts, la forçant à ancrer son regard dans le sien :
…Tu te les garde ! Et oui, fallait pas Susie-Chérie…fallait pas jouer avec moi, qu’est-ce que tu croyais ? Que tu pourrais me briser le cœur impunément ? Que j’étais comme un mouchoir en papier, qu’on pouvait me jeter après utilisation ? »

Elle avait beau se défendre sur la potentielle présence d’un autre dans sa vie, ou du moins dans son cœur, le jeune homme n’en croyait pas un traitre mot. Elle l’avait suffisamment prit pour un con pour qu’il gobe de la sorte ces sottes paroles. Elle avait beau dire qu’elle ne ferait plus l’erreur de faire entrer qui que ce soit dans sa vie, elle lui donnait l’impression qu’elle mentait tout comme elle respirait. Un air de dégout sur le visage, il lâcha son menton, ne prenant pas vraiment conscience de sa force et de la marque qu’il avait laissé sur le visage de la jeune femme. De toute façon il s’en fichait, tout ce qui importait actuellement c’était de voir la jeune femme au plus mal, histoire que sa lettre ne soit, en fin de compte, pas qu’un tissus de conneries. Marchant autour d’elle, l’entourant, l’encerclant comme une proie, il répondit, d’un calme presque perturbant :

« N’ait pas peur Susie-Chérie…C’est Andrew c’est ça ? Je sais que t’as jamais pu l’oublier, que t’as jamais pu tirer un foutu trait sur votre pseudo relation. Alors en fait c’est ça qui te fais fantasmer ? Les connards qui te maltraitent ? Parce que si c’est que ça, ça peut s’arranger tu sais… »

S’arrêtant brusquement en face d’elle, il lui balança une gifle, violente et sèche…Tellement surprenante que la jeune femme se retrouva sans comprendre, du moins sans le prévoir, au sol, à quatre pattes…Les doigts meurtris, Donny serra son poing, serrant les dents, quelque chose d’encore plus haineux dans le regard. Il n’avait pas prévu d’en venir aux mains, la vérité était qu’il ne c’était jamais battu, Andrew avait toujours été là pour frapper les andouilles venant se moquer de son obsession enfantine pour les lapins. C’était la première fois qu’il lançait une claque, et il découvrait à quel point ça pouvait faire du bien, sans vraiment en peser les conséquences, sans vraiment se dire qu’il venait de frapper premièrement une fille et surtout deuxièmement, une fille faible. Il se baissa, s’accroupit au sol devant la petite tête brune de son ex copine. Lui attrapant une nouvelle fois le visage, il lâcha :

« Alors ? Heureuse ? »

[Ptdrrr je suis en train d’en faire un psychopathe xD Ce que je te propose c’est d’intégrer quelqu’un d’autre dans le topic, afin de sauver la petite Susie des griffes de Donny le taré xD]
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MessageSujet: Re: Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)]   Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)] Icon_minipostedMer 9 Juil - 15:29

Elle n'écoutait presque plus laissant son âme partir au loin, il fallait qu'elle s'isole, il ne devait pas pouvoir lui faire plus de mal encore, car elle ne le suporterait peut-être pas... Et car il s'en fichait royalement elle l'avait bien compris, alors elle partait loin dans sa tête, elle était ailleurs loin de lui sur une autre île la ou tous ses problèmes ne la ratrapperaient jamais... Elle s'en voulait maintenant d'avoir écrit cette lettre, car pas une seule seconde elle n'avait pensé qu'elle pourrait avoir un tel impact sur lui, oui elle aurait sans doute du réagit autrement sinon mais comment? Que dire? Que faire? Comment aurait-elle pu envisager d'essayer de comprendre une autre personne alors qu'elle même ne se comprenait même pas? Quand elle sentit son doigt sur ses lèvres le dégout s'empara d'elle, et dire qu'avec ses même doigts il avait parcouru son corps... Et qu'elle avait aimé ça... Aujourd'hui elle ne voulait plus qu'il la touche, elle avait évidement pensé à le repousser mais la violence risquait d'entrainer la violence et elle était loin de faire le poids sur ce point il n'y avait aucun doutes possible, puis surtout l'endroit semblait désert, il n'y aurait sans doutes personne pour lui venir en aide, alors non elle s'abstiendrait...

Susie resta bouche bée quand il prononça les mots suivants... Que racontait-il ? Elle n'avait jamais préféré Andrew, certes elle avait été avec lui avant d'être avec Donny mais quand ils avaient tous les deux formé un couple pas une seule seconde elle n'avait pensé à Andrew, elle l'avait bien vite chassé de son esprit comprenant qu'il n'était pas capable de la gérer... Elle ne lui en avait en faites même pas voulu, c'était graces à lui qu'elle c'était rendu compte de la personne que Donny était vraiment et c'était à partir de là que tout avait commencé entre eux... Mais tout un coup Susie se posait pleins de questions, était ce donc ça le problème, avait-il toujours pensé qu'elle préférait Andrew et qu'il n'était qu'un simple roue de secours... Puis à nouveau il usa de la violence lui serrant violement le menton pour la forcer à le regarder dans les yeux... Et c'est ce qu'elle fit de toute façon qu'avait-elle à cacher? Il croyait tout connaitre d'elle mais il était bien loin de la réalitée... Jamais elle ne l'avait vu comme ça, jamais elle n'avait résonné de cette façon, et rien que le faites qu'il le croit, lui faisait mal c'est vous dire... Elle continua donc de le regarder dans les yeux avec cette aire d'incompréhension, alors que lui n'avait pas lâché son menton qui commençait à la faire souffrir...

« Tu crois vraiment que j'ai pensé comme ça? Que je me suis servi de toi? »

Sa voix tremblait, mais elle ne voulait pas se laisser submerger par les émotions même si elle savait que maintenant elle ne tiendrait plus longtemps... Puis enfin il l'a lâcha, ou plutôt jeta son visage comme une sorte d'ordure... ( C'est qui le mouchoirs là?^^) La douleurs fut vive et les larmes lui montèrent aux yeux mais elle les ravala avant même qu'il n'ait pu les apercevoire... Lui avait elle vraiment menti en prétextant qu'elle ne voulait plus avoir confiance en quelqu'un pour que par la suite il la fasse souffrir... Non elle n'avait pas menti car pas une secondes elle ne pensait avoir une chance avec Steeve bien qu'elle l'aime plus que tout... Pas une seule seconde elle ne s'imaginait lui faire subire tout ce que Donny avait du subire... Personne ne méritait ça... C'était pour ça qu'elle l'avait quitté, pour ça qu'elle s'isolait qu'elle s'interdisait d'aimer... Pour que personne ne revive se calvaire... Mais il se trompait... Susie avait été reconnaissante, elle n'avait juste pas su comment le montrer, elle avait vu tous les offerts qu'il avait fait pour elle s'en sentait même gênée... Elle n'avait jamais compris qu'il s'accroche comme ça à elle alors qu'elle avait si peu d'amours à lui donner... Mais elle avait trop eu besoin de lui et de tout l'amours et la tendresse qu'il avait été capable de lui donner pour mettre fin à cette histoire... Et le centre avait tout changé.... Pourtant elle n'avait pas voulu y aller et il faisait son fier mais lui aussi faisait partit de ses gens qui l'avaient forcé à se rendre dans se foutu centre qui ne changerait rien... Car c'était toujours la même histoire... Quand tu as pris deux ou trois kilos il te laisse sortir te considérant comme guérie puis tu replonges et c'est de pire en pire chaque fois... Puis un jour c'est la mort... Et elle se demandait encore souvent si elle était vraiment loin de ce point! S'il lui restait encore longtemps à vivre... Ou plutôt à survivre...

« Mais... Quesque tu me racontes... Je n'aime pas An... »

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que déjà elle resentit une douleur vive sur son visage et se retrouva parterre sans rien comprendre... Il venait de lui balancer une gifle comme jamais personne ne l'avait fait... Et elle n'aurait su dire si la douleur lui était plus fort physiquement ou mentalement. Donny l'avait frappé, il avait osé la frapper mais au fond elle le savait, elle l'avait mérité, elle ne comptait pas riposter ni rien, il avait raison elle ne l'avait jamais mérité, elle n'avait pas réussi à lui donner ce qu'il attendait d'elle, alors elle avait usé de la lâcheté elle lui avait fait mal alors il lui rendait coup pour coup... Elle resta au sol n'essayant même pas de se relever alors que toutes ses forces l'abandonnaient déjà. Les larmes pointaient enfin à ses yeux, des larmes qu'elle ne pouvait plus retenir, elle avait cru jusqu'au dernier moment qu'il n'userait pas de cette force la... Qu'il n'irait pas jusqu'à la frapper et pourtant il l'avait fait et à en juger par son air et ce petit ton qu'il utilisa après lui avoir à nouveau attrapé le visage, il ne le regrettait pas une seule seconde.... Pire il avait peut-être même envie de recommencer... Qu'il le fasse de toute façon qu'avait-elle àperdre? A qui allait-elle manquer? Il y avait longtemps qu'elle n'était plus accroché à cette vie... longtemps déjà qu'elle connaissait la douleur... Alors qu'il frappe si tout ça pouvait lui faire du bien... Qu'il la tue... Personne ne viendrait la sauver... Elle lui faisait encore une fois face ses yeux remplient de larmes cherchaient un regard qu'elle connaissait mais il n'y avait pas une seule lueur du Donny d'avant... Il était bien loin... Il n'y en avait plus que le corps... Se physique...

« Je... Je suis désolée Donny... Je voulais pas... Je pensais pas... »

Que pouvait-elle faire d'autre appars s'excuser, c'était des excuses sincères, bien qu'elle sanglôte comme une petite fille, car elle n'avait plus rien derrière lequel se cacher... Puis elle s'en voulait vraiment de lui avoir fait du mal... Mais bisarement elle avait la sensation que ses excuses allaient lui passer au dessus , qu'elles serraient loin d'être suffisantes et qu'il demanderait encore vengeance... Et au fond... Elle s'en fichait... Elle n'avait plus rien à pedre... Si ce n'est la vie...
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Donny H. McKing
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MessageSujet: Re: Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)]   Soigner le mal par le mal [Susie-Chérie =)] Icon_minipostedJeu 10 Juil - 15:57

Donny n’avait pas vraiment conscience de la gravité de ses gestes, il était beaucoup trop énervé pour ça. La seule et unique chose qui le préoccupait actuellement était de se venger, de montrer à la jeune femme qu’il n’avait pas à être le seul à souffrir dans cette histoire. Bien évidemment il n’avait pas une seule seconde pensé en venir aux mains, il avait même imaginé un million de fois la scène qui se déroulait actuellement sous ses yeux, envisagé tout les scénarios possibles, mais aucun ne prenait la tournure actuelle. Il s’était peut-être emporté, alors que c’était loin d’être son genre, lui qui ne levait jamais la main, pas même pour écraser une simple fourmi. Nan il était plutôt du genre à prôner la non-violence, a préférer les câlins aux coups. Mais, Susie possédait ce air agaçant sur le visage, sans parler de sa petite voix si fluette et si douce, qu’elle lui était monté d’un coup à la tête, lui donnant la migraine, une insupportable migraine qu’il avait pensé faire taire en se défoulant physiquement. Pourtant ce dont il avait vraiment besoin actuellement, ce n’était pas de se défouler physiquement, mais mentalement. Oui, il gardait en lui un trop plein d’émotions, des émotions à la fois proches et éloignées, des émotions dans la globalité plutôt contradictoires. En effet, il prenait du plaisir à rabaisser la pauvre jeune femme, à la secouer, mais d’un autre coté, il ne pouvait pas nier le fait que ça le touchait, qu’il attendait peut-être bien autre chose de sa part. Alors à la place de se ramollir, d’éprouver du regret, de la culpabilité, il fermait les yeux sur son propre comportement pour ne penser qu’à celui qu’avait eu la jeune anorexique avec lui. Oui, ce n’était pas lui qui était à blâmer, ce n’était pas lui qui était coupable de la situation actuelle, la jeune femme s’était foutue toute seule comme une grande dans les embrouilles, la belle Susie avait merdé et ça, bien évidemment, elle allait le payer.
Il n’éprouvait aucune fierté pour avoir fait tomber la jeune femme, en même temps, elle était si fragile, qu’un courant d’air aurait pu faire de même. Agenouillé, il avait enfin lâché son visage, lorsqu’elle s’était enfin mise à pleurer sans se cacher, lorsqu’elle avait enfin laissé couler ce flot de larmes. Il était resté tel quel, à la regarder, à regarder chacune de ses larmes couler le longs de ses joues humides, un air totalement détaché et distrait sur le visage. Elle lâcha entre deux sanglots qu’elle était désolée, qu’elle ne voulait pas, qu’elle ne pensait pas…qu’elle ne pensait pas quoi ? Etrangement Donny s’en moquait royalement, tout ce qui l’importait était de regarder la jeune femme pleurer, de regarder la jeune femme admettre ses tords, de regarder la jeune femme en train de souiller sa propre dignité. Il voulait plus que tout immortaliser cet instant, graver cette image dans sa tête. Elle lui faisait pitié, elle le dégoutait.


« Il est un peu tard pour être désolée Susie-Chérie…J’espère en tout cas que ce petit entretient te servira de leçon, que désormais t’arrêta de jouer avec les sentiments des autres. Tu sais poupée…un jour viendra où tu réaliseras ton erreur, et bien ce jour là…ne vient surtout pas, tout ce dont j’aurai à t’offrir ça sera une nouvelle gifle, histoire de te remettre une nouvelle fois les idées en place… »
Il se redressa, la dévisageant tout en esquissant un drôle de rictus. Il semblait être fier de lui, du moins fier de la tournure qu’avaient prises les choses. Il avait officiellement remporté la guerre et se sentait plus que jamais détaché de la jeune femme, comme si le fait de la trainer dans la boue avait eu pour conséquence d’éteindre le feu qui sommeillait en lui. Il avait ressentit tout les sentiments que l’on peut éprouver dans une relation, il était passé du désir à l’amour, de l’amour à la haine, et désormais, tout ce que la jeune femme lui inspirait n’était que pure indifférence…Elle était tout simplement pitoyable, là sur le sol les cheveux décoiffés, les joues mouillées et les yeux rouges. Il lui tendit une main, mais se ravisa préférant la ranger dans la poche avant de son jean.

« J’ai toujours trouvé que tes baisers avait un gout particulier…J’ai longtemps cru qu’il s’agissait du gout de la passion…Je viens enfin de réaliser que tout tes baisers avaient le gout du vomis…Tu veux que je te dise Susie-Chérie, t’es comme la Vodka, a trop abuser de toi, ça ma saoulé et maintenant, je n’ai plus qu’une envie, vomir mes tripes… »

Il commença à s’éloigner, il était temps qu’il vaque à ses nouvelles occupations : s’amuser avec la vie de ses chers camarades de classes, occupation mille fois plus intéressante que de regarder la pathétique Susie se rouler, comme une truie dans un camp de concentration, dans la boue. Se retournant une dernière fois, il lâcha :

« Tu devrais rentrer à l’hôtel, t’as mauvaise mine… et cesse donc de vouloir te faire passer pour la fille faible et fragile, fais une descente dans la réserve, va te faire vomir et hop tu seras requinquer pour la journée…Et tant que j’y suis, pour l’histoire de la barre chocolatée, ça tient toujours… »
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