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 Gabriella J. Berisford <3

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Gabriella J. Berisford <3 Empty
MessageSujet: Gabriella J. Berisford <3   Gabriella J. Berisford <3 Icon_minipostedMer 25 Juin - 19:56


    Si vous lisez ces quelques lignes, c'est que vous êtes actuellement en train de poireauter en garde à vue, dans une cellule peu accueillante, froide et humide. Sur le banc d'en face, un ivrogne - Du moins c'est ce que vous déduisez vu la forte odeur de Tequila - dort, affalé d'une façon peu élégante, les bourlets dépassant de dessous son pull troué plein de tâches de bière ... Et d'autres choses suspectes dont vous feintez ignorer la provenance.

    Vous ne semblez pourtant pas stupéfait par votre présence en ces lieux, du moins pas après tout ce que vous avez enduré.
    Pourtant, vous leur aviez déjà tout dit, dans les moindres détails.

    MOTHER FUCKA' !


    Une silhouette s'approche, et, dans un cliquetis, ouvre la cellule pour vous inviter à le suivre.
    Vous atterrissez dans une petite pièce aux mûrs gris, un simple miroir face à vous ainsi qu'une table et deux chaise.
    L'inspecteur prend alors place face à vous et, d'un geste de la main, vous invite à l'imiter.

    Les minutes s'écoulent. L'homme face à vous se décide finalement à briser le silence.

    - DONC ... MADEMOISELLE JANE DOE ...

    Merde, ce pauvre type vient d'écorcher votre nom ... Vous feriez mieux de le reprendre maintenant, sinon il risque de vous appeller comme ça tout au long de l'interrogatoire !
    >> YOU ! a écrit:
    « Excusez-moi, vous avez du faire une erreur, je ne me prénomme point Ja… comment avez-vous dit ? Ah oui, je ne suis pas Jane Doe… Surement une erreur de papier ? Bien sur, ce n’est pas grave, cela peut arriver à tout le monde. Cependant, je me nomme Gabriella Jyn Berisford. »


    - MOUI EXCUSEZ MOI ...

    Okey ... Il semble trifouiller dans ses notes ... Peut-être que ça l'aiderait si vous lui donniez votre surnom ...

    >> YOU ! a écrit:
    ( « Ou si cela peut vous aider, on me surnomme souvent Gaby, mais cela peut tourner au Gabynounette, Gabychou ou Gaby d’amour… Et puis après, bien sur, il y en a qui m’appelle par d’autres surnoms, j’aime mon Petit Marshmallow, c’est mes amis qui m’appelle comme cela et heu… excusez-moi, continuez, je vous pris. »

    - AH ! MAIS OUI BIEN SUR !
    L'inspecteur sort maladroitement une fiche de son classeur.

    Entre temps, vous avez un peu cerné le personnage et avez découvert qu'il était loin d'être fut-fut ... Vous êtes dans un de vos bons jours, humeur de bon samaritain, et décidez de lui donner un coup de main.
    >> YOU ! a écrit:
    « Et si je peux encore vous aider, vous permettez, je suis née le 25 aôut 1989, dans une ville de Californie qui s’appelait… comment elle s’appelait déjà ? Zut, j’ai oublié, en fait, c’est assez compliqué et tellement paumé aussi, comme ville… et puis je suis américaine, enfin ça c’est logique… »

    - JE SAIS LIRE MERCI !

    Voilà qu'il se vexe maintenant ! Voilà tout ce qu'on récolte quand on est coopératif ! Les flics de nos jours, ils se prennent plus pour de la merde ... Vous décidez de le rabaisser un peu : Issu d'une famille aisée, vous ne manquez pas de lui faire une remarque cinglante quant au métier de vos parents et de leurs revenus, par rapport au salaire risible d'un inspecteur ...
    >> YOU ! a écrit:
    « Excusez-moi, je souhaitais juste vous aider dans votre recherche… Cependant, je tiens à vous dire que je suis issue d’un milieu social aisé, évidemment ce doit écrit sur la fiche… mais mon père est le directeur d’une petite entreprise d’informatique, et ma mère est secretaire dans une célèbre agence de voyage, voyez-vous… »

    - HUM ... POURSUIVONS, VOULEZ-VOUS ?
    La technique semble avoir marché, notre inspecteur semble faire semblant de rien, mais son teint virant au rouge ne trahit pas ! S'il vous manque à nouveau de respect, vous savez quel est son point faible !
    - VOUS AVIEZ ÉTÉ CONVOQUE IL Y A DE CELA 3 MOIS, POUR UNE AFFAIRE DONT VOUS N'IGNOREZ PAS LA NATURE.
    L'hurluberlu vous fixe un moment, s'attendant à ce que vous lui répondiez quelque chose. Pas de chance, vous restez muet, préférant savoir où il veut en venir avant de l'ouvrir.
    - JE SAIS QU'ON VOUS A DÉJÀ ÉNORMÉMENT QUESTIONNE SUR LE SUJET, DONC JE NE VOUS FERAI PAS RÉPÉTER CE QUE NOUS SAVONS DÉJÀ ...
    Fort bien, mais cela ne vous explique toujours pas votre présence ici je dois dire.

    Vous lui jetez un regard suspicieux tandis qu'il trifouille à nouveau dans son sac. Vous levez finalement les yeux au ciel lorsqu'il vous sort une série de cartons avec des tâches noires dessus ...
    Merde, il va vous faire passer le test de Rorschach ! Entre nous, il ferait bien de répondre à ses propres questions ! Cet inspecteur ne tourne définitivement pas rond ...

    - BIEN BIEN BIEN ... PREMIÈRE IMAGE ! DITES MOI CE QUE VOUS VOYEZ !

    Spoiler:

    >> YOU ! a écrit:
    « Ce que je vois ? Un scarabée, non, un mouton complètement allongé sur le ventre ! Non, ce n’est pas ça, oh je l’ai sur le bout de langue… Hum, vous savez, le truc avec une tête hideuse, une grosse carapace et des petites pattes, mince, c’est quoi cet animal… Une tortue, oui ça me fait penser à une tortue ! »


    Vous hésitez un peu mais finissez par répondre.
    L'homme ne semble pas très convaincu de votre réponse car il vous jette un regard en biais tandis qu'il retourne son deuxième carton.

    Spoiler:

    >> YOU ! a écrit:
    « Je sais, je sais, je sais ! Là, c’est plus facile, je sais ! C’est mon petit ami, Aaron, qui écarte les bras pour que je me jettes dedans. Parce que, vous savez, je l’aime, il m’aime, c’est le grand et folle amour, quoi… Franchement, c’est le mec idéal : il est beau, gentil et attentionnée… Toutes les filles rêvent de lui, mais il n’en aime qu’une seule, moi, moi, moi et moi seule ! Enfin cette image, c’est Aaron tout craché quoi ! »


    Hum ... C'est officiel : Vous lui faites peur ! C'est du moins la conclusion que vous tirez vu qu'il s'empresse de ranger ses cartons.

    Il se racle la gorge. Apparemment, l'entrevue n'est pas terminée ...

    - INTÉRESSANT ... TRÈS INTÉRESSANT ...
    Vous ne relevez pas la chose. Intéressant, ils disent tous ça de toute façon ...
    - VOUS AVEZ EU RECOURS A UN SUIVI PSYCHOLOGIQUE SUITE A ... L'ÉVÈNEMENT ?

    >> YOU ! a écrit:
    « Je dois dire que non… mais je devrais ? Oh, je le ferais bien si ce doit être le cas, mais disons que je ne vois aucun problème dans mon mental, je suis une personne seine d’esprit que voulez-vous… Mais vous pensez vraiment que je dois aller voir un psy ? Vous le pensez vraiment ? »


    - INTÉRESSANT ...
    Il hoche la tête d'un air songeur tout en griffonnant dans son cahier.
    Vous finissez par vous posez des questions : Ce type est psy' ou agent de police ? Ou alors il s'agit d'une caméra cachée ?
    Dans tous les cas, vous avez vraiment l'impression de perdre votre temps ! Et vous ne vous privez pas de le faire savoir !

    >> YOU ! a écrit:
    « Mais enfin, parlez-moi, répondez à mes interrogations au lieu de toujours me dire des Intéressant, intéressant et re-intéressant… zut enfin, quoi, c’est pénible à la fin ! Alors, cette entrevue est-elle terminée, que l’on puisse passer à autre chose ? »


    - HEIN ?! AH EUH ... OUI BIEN SUR ... JE VAIS ALLER ME CHERCHER UN CAFE TIENS, VOUS ATTENDEZ MOI ICI !
    Comme si vous aviez le choix de toute façon ! Vous êtes bien obligé de glander ici pendant que monsieur va se dégourdir les jambes. Et aucune chance qu'il vous ramène un Cappucino en plus, vu le ton que vous avez prit avec lui.

    MOTHER FUCKA' !

    Vous le saviez qu'aujourd'hui serait une journée de merde ...
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Cassian G. Dale
-[He'll Never set the thames on fire]-
Cassian G. Dale


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MessageSujet: Re: Gabriella J. Berisford <3   Gabriella J. Berisford <3 Icon_minipostedJeu 26 Juin - 0:02

Mhuhu. Parfait ! J'VALIDE donc pour cette première partie.

A présent, la seconde partie que je te conseillerais de ne pas négliger étant donné que vous êtes trois à vouloir le rôle. La qualité prime. Et bien évidemment afin de ne pas léser l'une d'entre vous, vous aurez le même contexte.
Ce contexte a pour objectif de vérifier si le personnage est bien cerné et d'exploiter sa biographie. Place donc au contexte^^

"Encore une journée passée avec William, son meilleur ami. Les jeunes gens bavardent tout en marchant et la jeune femme manque de tomber mais William la rattrape inextremis. Le jour se couche et un léger bruissement les fait sursauter. Pas grand chose selon le jeune homme qui la garde toutefois contre lui et ne semble pas lui-même convaincu par ses propres paroles... Cela dit la jeune femme n'est pas de cet avis, d'autant que quelques minutes après son regard croise celui d'Aaron qui paraît on ne peut plus furieux et demande des explications. S'en suit un léger malentendu. Croyant que son petit ami lui pique enfin une crise de jalousie face à un garçon, comment réagira Gabriella ?"


Bonne chance^^
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MessageSujet: Re: Gabriella J. Berisford <3   Gabriella J. Berisford <3 Icon_minipostedVen 27 Juin - 15:31


    La journée avait été tout simplement magnifique, c’était le mot exact. Effectivement, cette journée passée avec William, son meilleur ami, avait rendu encore plus proches les deux jeunes gens, plongés dans l’intimité de l’île au splendide paysage. Cependant, n’entendez pas de l’amour, quand je parle d’intimité entre William et Gabriella. Tous deux n’étaient que des meilleurs amis, prouvant ainsi à la terre entière que des amitiées proches ne se formaient pas forcémment entre deux personnes du même sexe. Depuis tout petits, Gaby et Will, comme on les surnommait le plus souvent, avait lié une amitiée hors du commun, que même le temps et ses épreuves n’avait guère réussi à détruire. De bons souvenirs se bousculaient dans la tête de Gabriella, tandis qu’elle observait le visage de William, en grande conversation. Cette promenade sur le bord de mer rappelait à la demoiselle les jeux sur la plage, les châteaux de sable construits près de l’eau, que les enfants avaient le plus souvent vu s’éffronder sous le poid de la marée montante. Mais aussi, la cueillette des coquelicots dans le champs, près de la petite maison de campagne des parents de Gabriella, où William avait si souvent été invité ; mais aussi les dessins réalisés sur le sol de bois de la terasse, à l’aide de petits galets formant l’allée de la maisonnée ; mais aussi la chasse aux papillons en plein été, où leur grand jeu favori n’était autre que de trouver l’insecte le plus coloré et le plus beau de tous. Que de bons souvenirs… que Gabriella tentait de conserver dans sa mémoire pour éviter l’érosion du temps. Soudainement, elle redressa la tête, revenant au présent par un changement de ton dans la voix de William. Que lui disait-il, déjà ? Son esprit égaré n’avait vu que le mouvement de ses lèvres, mais aucun son ne s’était acheminé au cerveau de Gabriella pour lui transmettre ses paroles. D’ordinaire, pourtant, Gabriella se montrait plus attentive face au discours de son ami. La splendeur de l’île la rendait certainement rêveuse, et William, remarquant que son amie ne l’écoutait point, marqua une pause et s’adonna à la contemplation du paysage. Malgrès les villes pollués et bourrées à craquer d’immeubles gris et poussiéreux, Gabriella était toujours restée persuadée que des endroits de paradis deumeuraient dans le monde ; aujourd’hui, elle en avait la preuve irréfutable. L’horizon s’étendait au loin, et offrait un ensemble tellement immense, tellement libre, que l’on aurait pu se croire seul sur cette terre, comme perdu dans un endroit d’eau, de sable et de verdure, comme un être insignifiant et minuscule pour ce monde gigantesque. Faisant un tour sur elle-même pour admirer cet horizon entourant, submergeant la jeune fille, Gabriella eut un instant le tourni. Désormais, elle se sentait toute petite sur cette planète et pouvait observer le vrai monde du haut de la falaise. Le soleil couchant donnait au ciel des teintes orangées, rosées ou même violacées, et reflétait sur l’eau une immense tâche argentée et instable. La mer s’étendait à perte de vue, et sa couleur bleutée en journée n’était plus que de d'encre au crépuscule. Le doux clapoti des vagues baignait cependant le tout d’ombres chinoises et d’un bruit léger fort agréable. L’odeur salée de la mer se mélangeait à celle plus épicée des buissons et des arbres à fruits, et parvenait aux narines délicates de Gabriella, qui huma l’air avec un petit sourire, heureuse de se trouver en cet endroit, à cet instant. Située sur la falaise en compagnie de William, la jeune femme pouvait observer les traces de pas dans le sable fin et beige, pas encore effacées par la montée des vagues. La chaleur de la journée se faisait encore pesante, et pour cause, Gabriella ne portait qu’une simple jupe blanche et légère, assorti à un débardeur d’un bleu léger et pastel. La demoiselle Berisford aurait tout aussi bien pu choisir de se promener nu-pied, mais les graviers situés sur la hauteur donnait à l’activité une certaine non rejouissance. Ainsi, elle avait préféré chausser des tongs de plages, dont la pointure trop petite lui permettait de caresser de son orteil le sol chaud et rugueux de la falaise. Quant à ses longs cheveux ondulés, dont le brun intense se confondait avec la nuit, elle les avait laché, et à présent, ces derniers voletaient au gré du vent léger. Une petite brise fraiche se leva, agitant les branches des buissons voisins, et soulevant en de belles courbes la jupe et les cheveux de Gabriella. Le regard de cette dernière se posa sur le visage de William, et celui-ci reprit la parole, continuant la conversation entamée avec sa meilleure amie. Soit, de quoi parlait-il, déjà ? Le sens de la conversation avait définitivement échappé à Gabriella, et celle-ci se contenta d’observer son ami. Que dis-je, son meilleur ami. Car William faisait parti du clan très fermé des amis de Gabriella, dans lequel il s’inscrivait en tête de liste. Depuis qu’ils étaient tout jeunots, leur amitié était sans faille. Effectivement, William possédait un cœur en or, et se montrait toujours présent pour Gabriella. Dans les pires moments, il la soutenait, faisait tout son possible pour l’aider, et tentait même les pires pitreries pour la faire sourire. Dans les meilleurs moments, il la soutenait également, et se montrait toujours aussi drôle, avenant et ouvert. Jamais il n’avait laissé tomber Gabriella, jamais il ne l’avait laissé fourrée dans le pétrin, jamais. Et Gabriella le lui rendait bien aussi, en se contentant d’être aussi gentille, souriante et drôle que lui. Dire Gabriella sans William était tout bonnement impossible, et la jeune femme était sure que dire William sans Gabriella l’était tout autant impossible. Tout le bien qu’elle pensait de son Willy, ce dernier le pensait de sa Gaby. Cela n’était pas autrement, Gabriella en était persuadée. Cette phase se produisait également avec son Aaron, le meilleur ami de William également, pas pour rien que Aaron est un mec bien, si c’est le meilleur ami de William ! Ne dit-on toujours pas qui se ressemble s’assemble ? Aaron était le petit ami officiel de Gabychou, et elle l’aimait passionnément, à la folie même. Elle lui vouait une confiance absolu et ne pouvait se passer de lui plus d’une journée. Mais malgrès ce fabuleux tableau, digne d’un conte à l’eau de rose, Gabriella ne pouvait s’empêcher de penser que son Aaron se montrait de plus en distant avec elle. La magie ne semblait plus la même qu’à ses débuts… Et voilà, Gabriella souffrait de nouveau de ses pensées. A chaque fois, c’était la même chose : elle pensait du mal d’Aaron, lui qui était si gentil, si attentionnée, si parfait… Et à chaque fois, elle souffrait de ses paroles. Vite, vite, à la corbeille les mauvaises pensées ! Evidemment, Aaron ne délaissait pas Gaby, c’était tout bonnement impossible… Mais où allait-elle chercher une idée pareille ? Elle même se le demandait. Elle soupira. Voilà, elle avait réeussi à se rendre malheureuse elle-même. Ou était donc passé son optimisme permanent ? A vrai dire, il était toujours là, mais cette histoire avec Aaron la turlupinait quelque peu. Un jour, elle lui en parlerait. Il avait surement un problème familial ou quelque chose comme cela, c’était la première fois qu’une telle absence amoureuse lui arrivait. Oui, Gabriella se faisait un certain soucis pour son chéri, et elle lui remonterait bien le moral ! En petite amie, elle se devait de le faire, pour le bien d’Aaron et pour son bien à elle aussi ! Mais elle avait également d’autres amis, d’autres personnes à qui apporter de l’attention, car elle n’était pas une petite fille perdue sans amie. Gabriella avait une réputation d’être la bonne copine, l’amie de tout le monde, celle qui est très ouverte, sociable, et se lit facilement avec les autres. Ainsi, elle avait d’autres amis, mais ses connaissances rapprochées comptaient plus de jeunes hommes que de femmes. Etait-elle un garçon manqué, pour se lier d’amitiée plus facilement avec le sexe masculin que l’opposé ? Bien sur que non, mais les filles étaient sans doute plus superficielles que les garçons, et l’aggaçait un peu avec leur côté « Zut, j’me suis cassé un ongle ! ». Gabriella était féminine, bien entendu, mais ne faisait pas un chichi pour tout et pour rien, ce n’était pas sa nature. Déjà petite, à l’école primaire et au collège, Gaby avait de nombreux amis garçons. Certes, ses meilleures amies étaient des filles, sauf William, bien sur, mais elle n’était pas timide vis à vis des garçons comme l’était les filles de sa classe. Mais, nous nous écartons un peu. William posa alors sa main sur l’épaule de sa meilleure amie, et la fit revenir brusquement à la réalité.

    « Gaby ? Tu m’écoutes ? »

    La jeune fille redressa alors la tête, et fit un petit sourire rassurant à William, avant de répondre d’une voix douce.

    « Excuse-moi, j’étais perdue dans mes pensées, ce cadre est tellement enchanteur… »
    « Gaby, tu es sure que ça va ? D’ordinaire, tu es plus attentive que cela… »


    Bingo. La fin de la phrase de William ressemblait étrangement aux pensées que Gabriella avait eut quelques minutes plus tôt, alors qu’elle laissait son esprit vagabonder. Décidemment, son ami la connaissait sur le bout des doigts, et, il fallait l’avouer, cela faisait plaisir à voir, même si le tout pouvait s’avérer quelques peu prévisible par moment. Gabriella poursuivit, niant tout malaise. Elle n’était pas décidée à aborder le sujet d’Aaron avec William : il avait beau être son meilleur ami, il était celui d’Aaron également, et la jeune femme ne voulait pas créer une quelconque tension pour avoir donné à William le rôle d’un messager entre le couple. En bonne petite amie, Gabriella se devait de parler seule et elle-même à son chéri.

    « Mais non, ça va, je t’assure, ne te fais pas de soucis. »

    Gabriella s’attendait à ce que William insiste pour savoir ce qui tracaissait sa meilleure amie. Etrangement, il ne le fit pas, et la jeune femme ne cacha pas sa stupeur en écarquillant les yeux et en fronçant les sourcils. Que se passait-il ? D’habitude, William tentait toujours de la réconforter, de résoudre ses problèmes, mais aujourd’hui, il se montrait absent pour elle. Le jeune Carter n’avait cependant pas vu l’expression de surprise de Gabriella, car il avait détourné la tête, visiblement contrarié par le peu de confiance que lui accordait Gaby. Quant à cette dernière, elle ne savait plus comment réagir. Quelques instants plus tôt, elle désirait cacher son trouble à William, mais à présent, elle se sentait frustrée et délaissée par si peu d’attention à son égard. Quelle girouette ! Décidemment, elle ne savait jamais ce qu’elle voulait, et cela l’agaçait même parfois. Les deux amis marchèrent quelques secondes en silence, mais ne purent s’empêcher de tourner simultanément la tête pour observer l’autre. Ils se lancèrent un sourire léger, et la conversation reprit alors comme si de rien n’était. Ces deux là ne pouvait vraiment pas se faire la tête ! Petit à petit, le vent se levait sur la falaise, faisant frissonner Gabriella, dont la peau s’hérissa en chair de poule rapidement. William passa son bras autour de la demoiselle, dans un mouvement aussi protecteur que destiné à la réchauffer. Soudainement, Gabriella qui réfléchissait depuis quelques minutes sur le comportement de son Willy, eut une hypothèse qu’elle n’appréciait guère, mais qui constituait en une hypothèse potable, certes. Gabriella espèrait se tromper, de toute manière elle se trompait surement. En ce moment, elle n’avait que des idées farfelues et dévalorisantes pour les personnes qu’elle aimait… D’abord Aaron, maintenant William. Oui, j’ai bien dévalorisante. Si William ne se montrait plus aussi attentionné envers miss Berisford, ce ne pouvait être qu’à cause d’Erilynn. Ce que Gabriella pouvait trouver étrange cette jeune femme ! La nouvelle messie, envoyée sur les traces de Dieu, son ô grand dieu tout puissant, dont elle entend les conseils en rêve. Une simple folle, qui ne méritait en aucun cas William. L’explication était simple : s’il était différent, elle était surement à l’origine de son lavage de cerveau et de l’intégration de toutes ces bêtises de Dieu dans son esprit. * Calme toi, Gaby, enfin, cesse de te tourmenter avec une tarée pareille, elle n’en vaut pas la peine ! * Gabriella avait beau être la copine de tout le monde, elle ne l’était surement pas avec Erilynn, et ne se dérangerait pas pour la remettre à sa place si William présentait une quelconque anomalie relative au saint esprit. Oui tout de même, William est son meilleur ami, quoi, elle ne veut pas qu’il se transforme en prêtre priant 5 fois pas jour, tout de même ! Oh, quelle horreur ! Gabriella chassa ses idées de sa tête en grimaçant. Et subitement, elle trébucha sur une grosse pierre. Quelle gaffeuse alors, si seulement elle avait regardé où elle mettait les pieds ! La miss voyait l’action comme au ralentit, mais à la moitié de sa chute, le tout repassa au rythme normal et, comme un rembobinage, elle remonta sur ses pieds aidée par une force inconnue. Qui n’était autre que William.

    « Hey, fais attention, Gaby ! »
    « Hein… ? Heu ou-oui, merci… »


    Elle bredouilla quelques paroles envers son sauveur et lui adressa un sourire reconnaissant. Finalement, elle s’était surement trompée. Si William avait eu un comportement différent, il ne l’aurait surement pas rattrapé dans sa chute, et elle se serait écrasée sur le sol comme un vase de porcelaine. Ils se remirent donc en route, Gabriella les pensées plus légères, heureuse de constater que la Blackmoore n’avait aucun effet sur son meilleur ami. Le soleil était à présent couché, et seules les étoiles brillants dans le ciel éclairaient le chemin. William proposa à son amie de reprendre le chemin du retour, car la nuit prenait à présent place au dessus du jour, et la lune en forme de quartier apparaissait progressivement. Le bras de William entourant toujours Gabriella, les deux firent volte face et reprirent le chemin du camp. Brusquement, un bruissement dans les buissons les firent sursauter. Gabriella se blottit de plus en plus sur William, paralysée par la peur.

    « C’était quoi… ç… ça ? »
    « Mais rien, ne t’inquiète pas, continuons d’avancer. »




Dernière édition par Gabriella J. Berisford. le Ven 27 Juin - 19:28, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Gabriella J. Berisford <3   Gabriella J. Berisford <3 Icon_minipostedVen 27 Juin - 18:12


    Mais Gabriella ne daigne pas bouger, car la voix de William ne se fait guère rassurante. Le jeune homme a beau tenter de montrer de la bravoure et de la détermination dans sa voix, cette dernière tremble légèrement. A cet instant, les deux amis se tiennent sur leur garde, prêts à détaller devant une bête féroce qui sortirait dans un grondement des buissons pour les dévorer. Cette situation ressemblait étrangement à une autre vécue quand Gabriella n’était âgée que de 7 années, à un point près : aujourd’hui, elle ne se trouvait pas seule, mais bien accompagnée d’un William à la carrure farouche qui tenterait tout pour la protéger, du moins elle l’espèrait. Mais j’imagine que la situation de Gabriella vous interesse, je parle bien sur de son souvenir… La famille Berisford s’était rendue par une belle journée ensoleillée et chaude à la plage située à seulement quelques kilomètres de leur habitation actuelle. Gabriella, alors âgée de 7 années, ainsi que ses parents, sa sœur alors âgée de 10 années, Adelaïde, et son petit de 1 an, Ryan, confortablement installé dans sa pousette, avaient passé une sublime journée à la plage, quand un orage s’était déclaré en fin de journée. Toute la petite troupe devait alors se mettre à l’abris dans la voiture, mais un coup de tonerre monstre avait fichu une peur bleue à Gabriella qui, prenant ses jambes à son coup, s’était perdue sur l’immense plage déserte de Californie. Courant sans marquer de pauses, tetanisée, la petite ne s’était stoppée qu’en tombant sur le sol trempé. A cet instant, le buisson à sa gauche avait remué, pour laisser échappé un serpent, qui, rampant, s’approchait de plus en plus. « Maaaaaaaaaamaaaaaaaaaaaan ! » Hurlement désespéré, cris, bruits de pas… La mère cherchant son enfant avait accouru le plus vite possible, et tenait à présent dans ses bras une Gabriella paralysée. Fort heureusement, le serpent avait fui, mais il en restait un très mauvais souvenir à la fille Berisford.

    « Gabriella ? Qu’est-ce que tu fais ici ? »

    La voix rauque d’un homme la ramena brusquement à la réalité. Cependant, cette voix n’était pas celle de William, elle lui était connue, certes. Et elle savait à qui elle appartenait. Stupéfaite, les yeux de Gabriella mirent un certain temps avant de faire la mise au point, sur un Aaron aux cheveux en bataille, une expression de fureur intense sur le visage. Visiblement, ce n’était que son petit ami qui venait de surgir des buissons, et non un serpent venimeux comme dans son terrible souvenir. Soulagée, elle se précipita vers lui et lui sauta dans les bras.

    « Ooooh Aaron ! J’ai eu tellement peur, mais ce n’est que toi ! »


    Le jeune homme la repoussa et observa tour à tour Gabriella et William. Les deux jeunes hommes se toisaient du regard, leurs yeux n’offrant pas une expression de franche sympathie malgrès leur amitiée. Quant à Gabriella, elle restait choquée de l’événement, mais aussi de la réaction de son petit ami face à la situation. Pourquoi ne la prenait-il pas dans ses bras ? Pourquoi était-il si distant, pourquoi ne la réconfortait-il pas ? Gabriella tentait de comprendre tant bien que mal la réaction de son petit ami. Il se tenait distant et son visage était déformé par une moue, ses yeux par de la colère. Mais pourquoi donc, Gabriella avait-elle fait quelque chose de mal ? Tout cela lui échappait franchement. Quant à William, il avait ramené Gabriella vers lui et avait passé de nouveau un bras autour de son épaule. Il observait également son meilleur ami avec une expression de colère, qui ne lui ressemblait pas de part la relation proche qu’il entretenait avec Aaron. En tout les cas, William semblait furieux que toute cette peur qu’ils avaient ressenti il y a seulement quelques minutes ne soit du qu’à un mauvais plaisantin qui tenait le rôle officiel de son meilleur ami.

    « Alors, que fais-tu ici Gabriella ? »

    Mais avant de poursuivre avec la réaction de la concernée, penchons-nous sur la raison de la colère d’Aaron. Alors que sa petite amie et que son meilleur sont ici, à se promener sereinement, les autres groupes font leur possible pour récolter du bois, de l’eau et de la nourriture, Aaron également. Et eux, ils sont là à s’amuser, comme si de rien n’était ! Dans la tête de Gabriella, le tout prenait cependant une autre tournure. Aaron semblait furieux à l’idée de voir sa petite amie et son meilleur ami William ensemble. Mais, mais… si cela, mais oui, c’était surement cela ! Gabriella exploisait de joie intérieure, mais faisait tout son possible pour ne pas le montrer. Enfin, Aaron était enfin jaloux qu’un autre homme s’approche de sa bien-aimée ! Il en avait mis du temps, avant de manifester cette émotion, cette réaction. Toutes les inquiétudes de Gabriella étaient envolées, et à présent elle se sentait de nouveau confiante dans sa relation de couple, persuadée qu’Aaron était jaloux de l’amitiée que portait Gabriella envers William. Maintenant, que pouvait-elle faire pour amadouer son petit ami ? La situation s’avérait plus que délicate. Gabriella se sentait prise au piège, prisonnière des sentiments. Elle aimait Aaron, et avait terriblement peur de le perdre pour un malentendu qui n’avait pas lieu d’être, car jamais William n’avait fait une tentative de séduction ou de quelconque approche envers sa meilleure amie ; Gabriella ne ressentait que de l’amitiée pour ce dernier, et elle savait la réciproque vraie. Mais aussi, elle avait terriblement peur que part sa faute, l’amitiée de son petit ami et de son meilleur ami soit brisée, Aaron en voulant à William d’avoir tentée de lui voler sa petite amie. Et puis, s’ils devenaient ennemis, ou rivaux, et s’ils ne parlaient plus à Gabriella, s’ils lui reprochaient d’avoir été trop proches de deux meilleurs amis à la fois, s’ils lui demandaient de faire un choix sentimental ? Et s’ils restaient amis, mais si Aaron, jaloux de la relation entre William et Gabriella, demandait à Carter de cesser de fréquenter Gabriella ? Oh la la, c’était affreux !… Il fallait rétablir au plus vite la vérité, car la demoiselle avait tout simplement peur que sa relation avec Aaron et William se voit dégradée.

    « Ecoute, Aa-aaron… ce, ce n’est pas ce que tu crois… ! »
    « Ah oui, et qu’est-ce que je crois alors ? »


    Aaron semblait véritablement furieux, et Gabriella ne savait pas vraiment comment le calmer. Jamais, auparavant, son chéri ne lui avait fait une crise de jalousie pareille ; jamais, auparavant, ils ne s’étaient jamais disputé, tout allait bien entre eux, Gaby en était persuadée.

    « Je… William n’a rien fait, crois-moi… enfin, on se promenait juste… »
    « C’est bien cela que je te reproche ! »
    « Oh… mais tu sais que je t’aime enfin… on a rien fait, je te dis… oh je suis désolée que tu crois de pareilles histoires, Aa… Aaron… »
    « C’est cela ! »


    Le jeune homme était définitivement sorti de ces gongs, et la peur de la rupture flottait de plus en plus au dessus de Gabriella. Mais non, voyons, il était juste énervé, comme l’aurait été n’importe quel petit ami… Mais justement, Aaron n’était pas n’importe quel petit ami, il était particulièrement doux et gentil… et il étonnait tout particulièrement Gabriella pour ce brusque changement de tempéramment. Jamais, la demoiselle Berisford ne l’aurait cru apte à s’énerver ainsi pour une si petite chose, pour laquelle il n’avait de plus aucune preuve. Pourtant, Gabriella se sentait flattée par cette attention toute particulière qui lui était consacrée. Vraiment, les soupçons et les doutes qu’elle avait eu à son sujet plus tôt étaient vraiment infondés, elle ne cessait désormais de se le répéter. La jeune femme tourna alors la tête vers William, qui n’avait plus prononcé un mot depuis l’apparition d’Aaron. Sa colère semblait s’être calmée, mais il conservait une moue qui montrait clairement que son meilleur ami n’avait pas à accuser Gabriella de quelque tromperie qu’il soit.

    « Oh, ça suffit Aaron, j’lui ai rien fait à ta copine, tu peux la reprendre. »

    Le concerné sembla lui même étonné par les paroles de son meilleur ami, qui lacha Gabriella et la poussa vers Aaron. La jeune demoiselle ne se fit pas prier et atterit dans ses bras en quelques secondes. Malgrès tout, William semblait sceptique quant au brusque intêret d’Aaron pour sa petite amie. Persuadé qu’il y avait quelque chose d’autre derrière cette colère, il ne se risqua pas dans des questions blessantes, mais savait tout de même son ami un peu plus desinterressé de Gabriella que cette dernière ne le croyait. Oui, pour Gabriella, Aaron était vraiment l’homme parfait, et elle restait sur de l’amour inconsidéré qu’il éprouvait pour elle ; mais William, lui, n’était pas si naïf et voyait bien que leur relation s’effilochait de jour en jour par le comportement de mister Vaughan. Mais ce n’était pas à lui de le révéler à Gabriella, il préférait laisser sa meilleure amie dans de beaux rêves peints en bleu et rose plutôt que de lui avouer une dure réalité qui la ferait souffrir à coup sur, et qu’elle ne croirait peut-être même pas. L’expression d’Aaron s’était à présent détendue, et les deux meilleurs amis échangèrent un léger sourire à peine perceptible. Gabriella leva les yeux vers son chéri et l’embrassa sur la joue, heureuse que tout se termine bien après seulement quelques minutes de parlote.

    « Désolé ma chérie, j’ai laissé mes yeux tromper mon esprit. »

    Mais Aaron, au fond, avait bien compris qu’un malentendu s’était glissé entre lui, Gaby, et William. Jamais il n’avait été jaloux, ou quoi que ce soit. Ce serait bien la première fois, tiens ! Mais il avait bien compris ce que sa petite amie avait cru comprendre dans sa furreur, et jamais il n’aurait risqué de la contredire en affirmant haut et fort le quiproquo. S’il voulait garder Gabriella sous son aile, il devait jouer son jeu, aussi faux qu’il le soit pour lui. Embrassant sa petite amie, il lui adressa un sourire. Gabriella, elle, était heureuse dans les bras de son copain, toutes ses craintes écartées par une crise de jalousie soudaine, mais terriblement bien tombée. Décidemment, c’est toujours quand elle allait mal qu’un événement heureux balayait sa tristesse…

    « Allez, viens Gaby, on rentre… »

    FINISH =)
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MessageSujet: Re: Gabriella J. Berisford <3   Gabriella J. Berisford <3 Icon_minipostedJeu 3 Juil - 1:19

Quant à moi je te laisse le rôle... Surtout que c'est temps-ci j'travaille et j'suis plus très souvent sur l'ordi. En plus, ta présentation est magnifique, je n'aurais pas pu faire mieux Razz

Alors voilà tu n'as plus qu'à attendre que l'autre Gabriella finisse sa fiche !

Ps: Je me prendrai sûrement un autre perso quand je serai plus libre... Wink
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MessageSujet: Re: Gabriella J. Berisford <3   Gabriella J. Berisford <3 Icon_minipostedJeu 3 Juil - 13:00

C'est noté Wink
Comme l'a dit Gaby, il faudra patienter le temps que l'autre Gabriella finisse sa fiche ( Je te rassure, on va pas te faire attendre une semaine si on voit que sa fiche n'a pas évoluer d'un yota Wink )
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MessageSujet: Re: Gabriella J. Berisford <3   Gabriella J. Berisford <3 Icon_minipostedLun 7 Juil - 23:42

  • Ta présentation est VALIDEE miss, on va pa ste faire attendre plus longtemps, qui plus est ta fiche est très bien Wink

    Bienvenue donc sur Pandora Box, en espérant que tu t'amuseras bien Smile
    N'oublie pas d'aller faire un tour du côté des scenarii à venir et de t'inscrire à l'un d'entre eux, ils vont bientôt débuter Wink
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MessageSujet: Re: Gabriella J. Berisford <3   Gabriella J. Berisford <3 Icon_minipostedMar 8 Juil - 12:59

Merci mister =)
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MessageSujet: Re: Gabriella J. Berisford <3   Gabriella J. Berisford <3 Icon_miniposted

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