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 Derniers grains de sable dans la nuit... [PV mon amant xD]

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Callista K. Andrews
-[I've got the Power]-
Callista K. Andrews


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FEELING ? : Biitchy
SOMETHING TO SAY ? : Vous pouvez médire dans mon dos, mon cul vous contemple!
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VOTRE.OBJET.DE.SURVIE : un petit sachet bien caché héhé
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[C]assian # Just the same as I
[M]ichael # Maybe more important that I thought

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[A]ndrew # Just give me what I want and shut up!
[N]athanael # Please baby be intelligent and quiet.

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[T]insley # Only shit....
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[A]sh # Poor thing.
[A]ngelina # Psychopathe
[E]mily # Just pathétic
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MessageSujet: Derniers grains de sable dans la nuit... [PV mon amant xD]   Derniers grains de sable dans la nuit... [PV mon amant xD] Icon_minipostedJeu 26 Juin - 1:08

  • [Ouah le premier message en RP du fofo…. Pfiou que d’émotion (senif senif aller Let’s go ^^]

    Callista se baladait sur la plage de l’île, cette belle plage de sable fin qu’elle se plaisait à fouler de ses pieds nus, juste pour avoir le plaisir de sentir chacun des grains rugueux caresser sa voûte plantaire, la réchauffer et la chatouiller. C’était une sensation indescriptible qui l’amenait dans une situation proche de la plénitude… La bise fraîche de la nuit venait faire voleter ses longs cheveux bruns légèrement ondulés qu’elle n’avait pas pris la peine d’attacher ce soir là. Il faut dire que depuis qu’ils étaient coincés sur cette île la jeune femme ne prenait plus vraiment la peine de soigner son physique comme elle le faisait sur le continent. Elle ne passait plus autant de temps devant son miroir ou dans sa salle de bain, elle était plus naturelle, et puis l’exposition au soleil avait donné à sa peau de brune une jolie couleur halée dorée qu’elle se plaisait à cultiver en allant lézarder quelques heures tous les jours, lorsque le soleil était à son zénith… Après tout en tant que leader personne ne pouvait s’opposer à elle, elle faisait ce qui lui plaisait, allait ou elle voulait, martyrisait qui elle voulait, bref la liberté absolue en quelques mots. La jeune femme en venait même à se demander parfois, si elle avait vraiment envie de partir, après tout le cadre était idyllique, il n’y avait personne pour leur imposer un comportement qui rentre dans les « normes » et puis surtout, surtout, elle avait pris ici plus d’importance que n’en aurait un président dans la réalité. Alors que demander de plus ?

    La cadette Andrews soupira, s’approchant de la mer, si calme et si sombre en cette fraîche nuit. Il était vrai que comparé à l’écrasante chaleur qui accablait tous les résidents de l’île durant la journée, la température nocturne se montrait particulièrement clémente, voir même froide à certains moments, ce qui n’empêchait néanmoins pas la brunette de se balader simplement vêtue d’un bikini et d’un paréo noué en jupe autour de ses fines hanches. Elle avait eu à supporter lors de ses nombreux voyages des climats on ne peu plus dur que celui qu’offrait cette île mystérieuse et ne craignait en aucun cas les quelques frissonnements qui l’accablaient parfois et lui faisaient hérisser le poil comme ces chats effarouchés. Au contraire, elle aimait cette sensation, ce picotement qui parcourt tout votre bras pour finir à son apogée le long de votre nuque.
    Ses pensées vagabondèrent un instant vers le peu de souvenirs qu’elle avait des moments passés avec ses parents. Il faut dire qu’elle ne faisait, la plupart du temps, que les apercevoir rapidement, toujours en déplacement, toujours occupés, elle avait fini par s’y habituer…
    La sensation du remous de l’eau sur ses pieds la sortie de ses pensées monotones et fit naître un sourire enfantin et sincère sur ses lèvres. D’autres pensées plus joyeuses l’animaient à présent, comme les jeux puérils qu’elle avait eu dans cette mer, à peine débarqués sur l’île avec son meilleur ami…

    Fermant ses paupières, elle se laissa aller à humer cet air marin, cet air vivifiant, tandis qu’elle sentait les vagues allées et venir le long de ses chevilles.
    De longues minutes s’écoulèrent ainsi, ou la jeune femme perdue dans le vide intersidéral de son propre esprit ne pensa plus à rien, juste à la plaisante sensation de l’eau sur sa peau, du sable qui lui fouettait le visage, et au goût salé qui s’était déposé sur ses lèvres vermeilles.
    Enfin une drôle de sensation se fit ressentir, un petit pincement, la gorge sèche, l’esprit alerte, un stress, une nervosité nouvelle semblait pointée en elle, et la jeune femme ne connaissait que trop bien ces symptômes.
    Rapide comme l’éclair elle se saisit d’un petit sachet, caché on ne sait ou sans les plis de son paréo et à genou dans le sable, elle regardait à la lueur de la lune la quantité de cette poudre salvatrice qu’il lui restait. Le constat qu’elle en fit lui tira une grimace déplaisante. A peine une dose, il lui restait à peine une dose et il faudrait à nouveau qu’elle aille quémander à cet Andrew, qui ne manquerait pas de lui faire remarquer que sa consommation était en hausse le tout accompagné de petites allusions perverses quant aux moyens de paiement.
    La demoiselle tira puérilement la langue comme si le brun se trouvait en face d’elle avant de se laisser aller dans le sable. Ainsi allongée, ses doigts ne cessaient de jouer avec le petit paquet tandis que dans sa tête se posait l’inévitable question.


    *Prend ou prend pas ? Prend ou prend pas ? Prend ou prend pas ?*

    Même si elle savait ce questionnement futile elle ne pouvait s’en empêcher. A chaque fois elle tentait de se faire revenir à la raison. Elle savait ces tentatives vaines mais cela semblait apaiser légèrement son fardeau, lui donner une excuse, diminuer la culpabilité qui s’emparait d’elle dès que ses geste se faisaient vifs, succincts et impatients et qu’indubitablement elle finissait par craquer et absorber tout ce qui pourrait satisfaire son besoin et la plonger dans un état de béatitude extrême que rien, non rien au monde ne pouvait surpasser... A la limite un orgasme mais il fallait que la relation l’emporte vraiment tout en haut du septième ciel voir lui fasse crever la voûte céleste pour parvenir à rivaliser avec l’extase que lui procuraient cachets, seringues ou poudre.

    Sa respiration se fit saccadée, tandis que la décision se prenait. Ni une ni deux elle s’assit a nouveau et utilisa ses derniers grammes de poudre pour se faire une ligne sur son genou. En moins d’une minute le tout fut aspiré avec hâte et empressement, tandis qu’elle sentait ce poison ce répandre en elle, comme s’il coulait dans ses veines.
    A nouveau allongée dans le sable, elle mordait férocement sa lèvre sous le coup du plaisir, ses pieds s’enfonçant dans le sable. Elle se sentait si...légère... si libre.... si bien... comme si rien au monde ne la retenait sur la terre ferme et que la moindre bise de vent la traversait de part en part, la baladant de gauche a droite, la faisant virevolter comme ces feuilles d’automne que la saison a détaché de l’arbre et que le vent emporte à son gré.
    Une dizaine de minutes s’écoulèrent, semblant à Callista durer à la fois une seconde et une éternité...
    Puis elle finit par reprendre le dessus, petit à petit, sa vue se fit plus claire, sa respiration plus calme, son esprit moins embrumé et le sourire qui s’était emparé de son visage lui donnant une expression à mis chemin entre la niaiserie et la folie s’effaça lentement.
    Un long soupir s’échappa de ses lèvres charnues. C’était fini, pourquoi était ce de plus en plus court ? La jeune femme le savait très bien mais se refusait à augmenter ses doses, sinon elle savait qu'il lui en faudrait plus, toujours plus et qu'elle rentrerait dans un cercle vicieux indépétrable... Or elle ne tenait pas à finir sur les dents à 20 ans à peine. Il fallait donc qu'elle se contente de ces courtes minutes de paradis... Tant pis.
    Tout en se disant cela, la demoiselle savait pertinnement qu'un jour viendrait ou cela ne lui suffirait plus, et inévitablement elle rentrerait de son plein gré dans ce cercle. Se voiler la face était inutile et la brunette détestait perdre son temps.
    Callista soupira à nouveau et passa sa main dans ses longs cheveux bruns, comme si se simple geste allait slutionner le problème qui la hantait. Bien qu'elle se soit toujours targuée d'être complètement autonome et de n'avoir besoin de personne, c'était dans ces grands moments de solitude qu'elle se rendait compte à quel point elle avait tort, m'enfin, ça, jamais elle ne l'avouerait à quiconque, question de fierté!
    Se redressant, la demoiselle tomba nez à nez avec un bel inconnu... Un sourire coquin naquit sur ses lèvres tandis qu’elle lui soufflait à l’oreille un suave...


    « Bonsoir Mr Williamson.... Vous devriez savoir qu’à cette heure les petits garçons sont sensés dormir »
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Noah E. Williamson
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MessageSujet: Re: Derniers grains de sable dans la nuit... [PV mon amant xD]   Derniers grains de sable dans la nuit... [PV mon amant xD] Icon_minipostedJeu 26 Juin - 18:22

    Le coucher du soleil était tellement plus spectaculaire au naturel que vu d’un écran de télévision, tellement plus époustouflant lorsque l’on pense qu’il suffirait de tendre sa main, les doigts tremblants pour pouvoir le toucher, non rien ne pouvait égaler le coucher du soleil vu de la plage. Noah laissait ses doigts de pied frémissants par le contact rugueux avec le sable chaud, s’enfoncer doucement dans cette texture, il prenait un plaisir fou à faire un pas, puis un autre, juste pour soulever cette masse de petits grains inoffensifs pour ensuite se replonger dans le sable. Les mains dans les poches de son jean troué au niveau du genou gauche, sa chemise bleue pâle avait quelques boutons défaits, ce qui laissait entrevoir sa peau hâlée par le soleil et sa chaîne en argent qui scintillait doucement selon son exposition aux rayons solaires. Le regard du jeune homme était étrangement plongé dans les profondeurs des eaux salées, ballonnées par les courants marins. Le remous de la mer le fascinait, l’écume blanche et mousseuse s’écrasait avec violence contre les rochers noirs des falaises, faisant ainsi virevolter des particules, un mélange d’eau et d’écume, qui dans l’air rencontraient la lumière et brillait comme par magie, le paysage était époustouflant. La liberté qui se dégageait de cette étendue d’eau mobile ; le grandissime du paysage frôlait l’irréel. Le jeune Elliot, de son deuxième prénom, arrêta son jeu enfantin avec ses pieds pour admirer quelques encore, pour savourer avec avidité le calme interne et externe qu’il ressentait dès lors, c’était comme si pendant ses rares secondes paisibles il avait pu omettre son malheur actuel, comme si le piège qui s’était enfermé autour de sa personne depuis le début de ce maudit voyage s’était effrité pour disparaître englouti par les flots marins. Loin au creux des falaises une mouette s’agita et poussa un cri aigu, ce dernier n’était pas teinté de tristesse ou de joie, il rappelait simplement à Noah que l’heure était venue pour retourner dans la dure réalité, l’illusion s’éloigna progressivement, les opales vertes de ce dernier étaient vitreuses et vides comme s’il tentait de s’accrocher vainement à ce petit bout de paradis sur Terre. Enfin, il poussa un soupir de résignation et tourna violemment le dos à la mer, il reprit sa marche, dans une cadence un peu plus accélérée, il ne souhaitait plus s’attarder dans cette plage paradisiaque, où lorsqu’il y avait du vent, les palmiers se courbaient à tel point que leurs longs feuillages verts frôlaient langoureusement le sable, rester à contempler cette eau turquoise et ce sable blanc et fin lui était insupportable, intolérable. Le besoin pressant de retrouver ce à quoi il était habitué, ses affaires, ses valises ou tout simplement sa boîte de préservatifs posée sur un des nombreux lits anonyme d’Anesidora hôtel, le démangeait, lui chatouillait le bas du ventre et l’absurde idée de ne plus avoir l’occasion de revoir ces objets insipides le tourmenta. Les phalanges de ses grandes et douces mains devaient être en ce moment même, blanches comme des cadavres, car la mâchoire du jeune Canadien était tellement carrée et mise en avant par la force avec laquelle il s’appliquait à serrer les dents qu’il était facilement imaginable du sort qui subissait ses mains luttant avec la même véhémence contre ce sentiment de désespoir qui hantait son esprit, telle une ombre néfaste qui ne pouvait être chassée. La chair de poule monta progressivement sur ses bras, lui gagnant le cou, il s’obligea à réfléchir posément et à chasser ses pensées noires qui faisaient le siège de son esprit affaibli. Son regard était tourmenté, sa bouche d’habitude pulpeuse et rouge n’était plus une fine ligne rose pâle. Secouant son visage tendu, il balaya les alentours à la quête d’une quelconque distraction qui pourrait le soulager de cette peur inconcevable, la plage était déserte…ou presque. Debout, bien calée sur ses pieds, une jeune silhouette frêle peu impressionnée par la grandeur des lieux semblait agitée par une tout autre activité que celle qui torturait Noah. Le tissu coloré nonchalamment noué autour de sa taille fine et sensuelle, était balayé par le vent, les mains de la jeune femme étaient crispées sur ce dernier, remontant, sans qu’elle ne s’en rendît compte, doucement le paréo, en un geste attirant, presque comme une invitation. Un sourire pervers détendit avec difficulté la bouche sèche de Noah Elliot, il continua à contempler le dos de cette brune aux cheveux ondulés, laissés libres aux vents. L’obscurité grandissante rendait la silhouette légèrement floue, empêchant que le regard précis du jeune homme n’en retienne toutes les formes, tous les détails de cette silhouette restée encore anonyme. Par sa tenue, ses pieds bien calés, l’orgueil de la jeune Eve était palpable, une leader bien évidemment, sinon elle ne serait pas laissée seule, quelques nomades dont Noah pouvaient évoluer sans la domination de ceux qui avaient pris les rênes des responsabilités, mais les autres étaient condamnés à l’obéissance des chefs et personne normalement constituée, n’aurait eu la saine idée de laisser une jeune femme fort délicieuse seule à de tels heures ..non vraiment personne. Noah continua à l’observer en biais pour qu’elle ne sente pas son regard brûler son dos, mais la jeune femme démente semblait plus obnubilée par autre chose pour prêter une quelconque attention aux rares regards curieux qui auraient pût traîner ici et là. Il la vit hésiter, puis enfin, céder à une tentation bien plus grande que sa volonté propre. Assise sur son fessier, la jeune femme fouilla son paréo et sorti un sachet contenant de la poudreuse. Aucun détail n’échappa au jeune observateur: les geste saccadés, la main un peu tremblante et la résignation face à la minuscule dose qu’il lui restait. Courbée sur ses jambes, d’après ce qu'il pouvait voir, il ne lui a fallut guère plus quelques minutes pour inhaler la dose si bien méritée. Puis enfin..le réconfort de l’effort. Noah décida de s’approcher de Callista K. Andrews qu’il avait reconnu sans trop de difficulté quelques instants auparavant. La jeune femme devait être en pleine hallucination, enfin, nageant dans le bonheur artificiel et le réconfort que la drogue pouvait lui apporter, le sachet vide de la demoiselle s’envola, emporté par le vent. Il s’arrêta à quelques mètres d’elle et regarda le spectacle avec suspicion, légèrement sur sa droite, elle ne pourrait l’apercevoir que par sa vision périphérique ce qui n’était pas réalisable, vu son état, elle y ferait réellement attention que quand elle se leverait, ce qui était le but de la manœuvre. Enfin les effets bienfaisants s’évaporèrent et la jeune femme allongé sur le sable chaud s’agita fébrilement , remise plus ou moins sur ses pieds, elle l’aperçut enfin. Les bras croisés sur sa poitrine à demie dénudée, Noah lui sourit conspirateur, la voix de la jeune femme un peu pâteuse montrait que tous les effets de la drogue ne s’étaient pas totalement dissipés et les pupilles dilatées de cette dernière ne faisanet que le confirmer. Le businessman arqua son sourcil parfaitement épilé (bah quoi ?) au-dessus de son regard lucide et froid. Décidant de prendre du tac au tac la boutade inoffensive d'une Callistas encore bien sonnée, il répondit de son ténor voluptueux :

    « Et les petites filles ne pas consommer ces néfastes bêtises… »

    Son regard en disait bien plus long que ses paroles en elles-même, Noah savait que la drogue était un commerce fructueux, qui rapportait facilement, beaucoup et rapidement, mais qui était sur le continent très dangereux, vu les mesures prises par les Etats pour arrêter que ces substances illicites ne fassent encore plus de victimes que celles déjà touchées. Mais sur l’île, il fallait être seulement discret et ne rien laisser paraître, ce n’était pas une aussi mauvaise idée… Il jeta un regard à Callista, puis le reporta sur l’endroit où devait se trouver le petit sachet qui contenait quelques minutes auparavant l’or blanc, mais qui s’était malheureusement envolé.
    « Alors comme ça, vous êtes à court, vraiment dommage… vous étiez presque touchante avec bouille enchantée par un bonheur que seule vous, étiez plongée.
    Il ne faut pas se torturer pour si autant, je vous ai vu hésiter à consommer votre dernière dose, ce n’est rien, cette île abandonnée vous fera peut-être une cure, puisque vous êtes maintenant démunie… »


    Il la regarda encore, la jeune femme était bien entrainée, seuls ses yeux étaient hésitants face au problème exposé par le jeune homme. Il sonda les yeux de la demoiselle, dans leur profondeur les plus obscures. Puis, après un sourire enjoliveur et quelques minutes de silence il laissa tomber d’une voix compatissante :

    « Profitez encore..dans deux minutes tout se sera dissipé : Vraiment dommage..oui » termina-t-il sans un murmure à peine audible, presque pour lui plutôt que pour elle. Il tourna les talons et commença à s’éloigner doucement, quand elle l’appela.
    Il se détourna victorieux, mais sans pour autant l’afficher et demada d’une voix innocente :

    « Oui ? »



    [Je me rattraperais au prochain -_-, promis, celui là, laisse vraiment à désirer]
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Callista K. Andrews
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MessageSujet: Re: Derniers grains de sable dans la nuit... [PV mon amant xD]   Derniers grains de sable dans la nuit... [PV mon amant xD] Icon_minipostedJeu 26 Juin - 23:01

  • [rofl….si celui là laisse à désirer Senif, qu’est ce que je devrais dire moi (T_T)]

    Callista était restée quelques minutes allongée sur le sable fin, se laissant le temps de recouvrir si ce n’est totalement, au moins partiellement le contrôle de son corps et de son esprit. Ses pensées étaient encore embrumées, tant et si bien que la plus simple des additions lui semblait aussi irréalisable que l’aurait été une fonction asymptotique.
    Ses yeux bruns ambrés, à la pupille dilatée par la drogue qu’elle venait d’ingérer s’attardèrent alors sur la myriade d’étoiles qui peuplait le ciel ténébreux surplombant Anésidora, la recouvrant d’une coque qui semblait emprisonner cette île hors du temps et de l’espace.
    Elle resta quelques secondes bouche bée face à ce spectacle qui lui fit presque monter les larmes aux yeux, effet probablement lié à la prise des stupéfiants qui venait à exacerber sa sensibilité, la rendant aussi romantique qu’une petite mijaurée.
    Néanmoins, malgré qu’elle soit pleinement consciente de ce fait, elle ne pouvait s’empêcher d’admirer cette étendue ténébreuse qui semblait s’étendre à l’infini, tant et si bien qu’il était alors impossible de savoir ou s’arrêtait le ciel et ou commençait la mer. La brune était sûre que si elle allait faire une petite brasse à cet instant précis elle aurait l’impression de voler dans l’immense espace galactique tant l’illusion était puissante.
    Elle n’avait jamais vu un ciel à la fois si clair et scintillant, de là ou elle habitait, la pollution et la présence humaine avait fait perdre une grande partie de sa beauté au ciel nocturne, mais ici, ici, dans ce lieu nu, pratiquement inconnu et encore préservé de la civilisation humaine, le ciel était tout simplement magnifique. Chaque astre semblait vouloir briller plus que son voisin, et cette symphonie lumineuse semblait draper la voûte céleste de sa plus belle robe d’apparat. Un million des diamants les plus purs n’auraient pus rivaliser avec la candide et naïve brillance de ce firmament tropical.

    La jeune femme s’évertua à reprendre le dessus afin de cesser ces niaiseries indignes d’une jeune femme telle qu’elle. Lentement, à l’aide de ses coudes, elle se redressa, laissant échapper un long et sonore soupir avant de se lever pour enfin remarquer, la présence sur sa droite de Noah, qui -enfin lui semblait il- était là depuis un certains temps déjà. Cela se confirmait par le sourire torve qui ornait ses lèvres charnues.
    Essayant de ne rien laisser paraître du trouble qui l’incombait, de s’être ainsi fait surprendre dans un tel moment de faiblesse, -sachant que seules deux personnes l’avaient déjà vu dans un état similaire- elle afficha une mine aussi sûre d’elle qu’elle le pouvait à cet instant et asséna sans attendre une petite réplique, un petit pic inoffensif et provocateur qui avait pour but de détourner momentanément, le temps qu’elle finisse de reprendre le dessus, l’attention de Noah. Malheureusement, il sembla que sa médiocre provocation et son ton si doucereux soit il, ne suffirent pas à ôter de l’esprit du cleptomane, la scène qui venait de se dérouler sous ses yeux. Callista voyait bien que dans les prunelles émeraude du jeune homme, fermement ancrées dans les siennes, la dévisageant comme s’il pouvait lire en elle comme dans un livre ouvert, ne subsistait nulle trace de doute quant à ce qu’il avait observé. Il était on ne peut plus lucide, bien plus qu’elle en tous cas, et malgré son état, la cadette Andrews savait qu’il n’était pas dupe. Le regard froid qu’il lui lança tout d’abord en guise de réponse, entraîna un long frissonnement de la part de la brunette. La chair de poule remonta lentement de son dos tandis que son cœur manqua un battement. Un instant, un dixième de seconde seulement, elle eut l’impression d’être à sa merci, comme ces oiseaux enfermés dans une cage qui ne peuvent échapper à aucun des regards qu’on leur lance.

    La demoiselle, poings serrés attendait que tombe le couperet de la sentence, comme un condamné à mort qui s’avance vers la guillotine. Elle s’en voulait d’avoir été aussi imprudente, mais la plage lui avait semblée déserte, elle n’avait donc eu aucune raison de se méfier. D’autant plus qu’elle n’avait à aucun moment pressenti la présence du brun. Elle ne l’avait pas sentie l’observer, ni entendu s’approcher, trop prise à cet instant là, accaparée par la seule et unique pensée de satisfaire ses besoins, de s’évader à nouveau de ce monde étriqué qui l’étouffait un peu plus chaque jour, chaque minute et seconde qui s’écoulait.

    En l’ayant surprise, il était entré dans une partie de sa vie qu’elle avait toujours caché. C’était un recoin de son existence qui n’existait alors que pour elle et il venait d’en forcer la porte, volontairement ou non, il avait mis le pied là où il n’aurait pas du.
    Bien sûr que la jeune femme savait que Noah savait qu’elle était accro à toutes sortes de saloperies, après tout son dealer attitré n’était autre que le meilleur ami du brun, alors comment aurait il pu l’ignorer. Mais entre savoir quelque chose et y assisté, le pas était immense et Williamson l’avait franchi sans l’ombre d’une hésitation, pire encore il s’était délecté de cet instant de faiblesse extrême… Ou alors peut être n’était ce que son imagination qui lui laissait refléter ses pires craintes dans les yeux profonds du brun.

    Dans tous les cas elle savait qu’elle ne devait en aucun cas se laisser écraser, elle ne lui laisserait pas voir à quel point son intrusion l’avait chamboulé, l’espace d’un dixième de seconde. Elle ferait comme si de rien n’était, comme si cette prise en « flagrant délit » n’avait été rien d’autre qu’un banal coup d’œil sur une scène légèrement honteuse. Elle ne baisserait pas les yeux et ne laisserait pas rosir ses joues, elle n’était pas comme ça.
    Ainsi résolue, la demoiselle accueilli avec amusement la réponse rauque et voluptueuse de Noah à laquelle elle répondit par une petite moue enfantine. Préférant rentrer dans son jeu, elle plissa ses lèvres comme un enfant pris en faute, tandis qu’un petit rictus venait naitre à la commissure de ses lèvres. Le silence dura une petite minute, avant que Callie ne le brise de nouveau en laissant échapper sur une intonation puérile :


    « Oui, mais vous savez Monsieur il n’y avait plus de bonbons… Et puis on m’a dit que les sucreries c’était mauvais pour les dents. »

    La brunette, satisfaite lui offrit un immense sourire taquin, qui se rétrécit néanmoins rapidement suite au nouveau flot de parole du qu’il lui servi.
    Son visage était à présent fermé, neutre et indifférent, pourtant son pouls s’était accéléré tandis que les mots prononcés par le brun tournaient dans sa tête, prenant un malin plaisir à la torturer. Bien sûr qu’elle savait déjà tout ça, et malgré toute sa maitrise d’elle-même, elle ne pouvait empêcher ses yeux de briller un peu plus fort, de trembler légèrement, de dévoiler au brun que c’était effectivement un problème qui la tourmentait. Elle savait qu’un jour viendrait ou Andrew serait a cours de came, et cela risquait d’arriver plus tôt que prévu si elle continuait à consommer encore et toujours plus, mais elle s’y était préparé, du moins c’est ce qu’elle essayait de se faire croire…
    Encore une fois, la demoiselle se maudit pour cet instant de faiblesse… Ainsi, seul le bruit du vent dans les arbres et des remous monotones de la mer vinrent répondre à Noah.

    Malgré tout, la brune continuait de soutenir son regard, plus férocement que jamais tandis qu’il reprenait la parole, s’adressant à elle sur un ton compatissant, qui, si elle n’avait pas été si latente, l’aurait immédiatement mis hors d’elle. Le silence fut la seule réponse que reçut Elliott qui finit par s’éloigner. Bien qu’il n’afficha clairement aucune expression, Callie pouvait imaginer sans peine le sourire vainqueur qu’il devait retenir, et sa satisfaction de l’avoir ainsi acculée.

    Au début la brunette se détourna de lui, prête à partir dans la direction opposée, et puis tout d’un coup sa mollesse la frappa de plein fouet, comme une gifle rude et dure qui vous remet les idées en place… Elle n’allait pas le laisser s’en tirer à si bon compte ! Elle allait le faire payer, le faire languir un minimum, fois de Callista.

    Se retournant alors brusquement, elle l’appela, sans crier, juste assez fort pour qu’il puisse entendre de façon audible que oui, c’était bien son prénom qui était sorti de sa bouche.
    Il se retourna satisfait, cet air condescendant extrêmement horripilant accroché au visage tandis qu’hypocritement il lui répondait par un « Oui ? » innocent… Il pu rapidement remarquer que la brunette avait repris la place qu’elle tenait auparavant, les pieds dans l’eau, les yeux clos, le visage tendu vers le ciel, sa silhouette uniquement éclairée par les lumières nocturnes.


    «C’est vraiment un paysage magnifique n’est ce pas ? »
    Murmura-t-elle tout bas, forçant le brun à se rapprocher pour comprendre le sens de ses propos.
    Les bras dans le dos, mains entrelacées, on aurait sans peine pu la prendre pour une petite fille qui s’extasie alors qu’elle va pour la première fois à la mer… Mais ce regard, le regard qu’elle lançait à Noah, un regard langoureux, pleins de sous entendus, un regard de défi, contredisait en tout point cette attitude désinvolte qu’elle se plaisait alors à adopter.


    « Pourquoi ne pas profiter encore un petit peu de ce paysage ? »
    La jeune femme s’était rapprochée de lui, de sorte à ce que ses mots lui furent murmurés au creux de l’oreille, d’une voix sensuelle, son souffle chaud caressant la peau bronzée du jeune homme tandis que la main droite de la belle venait caresser son cou fort et sculptural pour descendre lascivement le long de son torse et se stopper promptement, sans que rien n’eut pu prédire cet arrêt, sur la chaine qu’il portait autour du cou.

    « Charmant, vraiment. C’est un cadeau ? »
    Rajouta t’elle d’une voix détachée avant de s’éloigner en trottinant, sans même prendre la peine d’attendre une quelconque réponse à sa question futile… invitant subjectivement ce damoiseau à la suivre, pour disons, une petite balade au clair de lune… Quoi de plus romantique ?

    [pinaize désolée d'avoir pondu un pavé aussi niaiseux -_-"]
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